Vavoua – Le secrétaire général de la préfecture de Vavoua, Dehoulé Nguessan Augustin a exhorté les travailleurs de la société industrielle et forestière de Côte d'Ivoire (SIFCI) en grève depuis sept jours à reprendre le travail.
Rapportant les propos du Secrétaire général au sortir d’une rencontre avec ce dernier, le porte-parole des travailleurs de la SIFCI, Nguessan Fulgence a indiqué que le secrétaire général leur a demandé de reprendre le travail et d'entamer une procédure de revendication qui lui semble plus appropriée.
Selon le représentant de la centrale syndicale UGTCI à Vavoua, Beko Gilbert, les travailleurs doivent saisir l'inspection du travail et présenter les accords des années antérieures que leurs employeurs ne respectent pas. Ces accords portent entre autres sur la revalorisation de 8% de leurs salaires, la paie à chaque fin d'année de leur gratification et la date du paiement des salaires qui ne doit excéder le huit de chaque mois.
Pour le porte-parole des travailleurs, la réponse à l'exhortation du secrétaire général de la préfecture se fera après une assemblée générale qui se tiendra ce jeudi à la SIFCI.
Depuis une semaine, les employés de la SIFCI réclament à leur employeur deux gratifications, un mois de salaire en retard et un rappel de 8% de la revalorisation des salaires décidée en 2016.
(AIP)
sk/kkf/kam
Rapportant les propos du Secrétaire général au sortir d’une rencontre avec ce dernier, le porte-parole des travailleurs de la SIFCI, Nguessan Fulgence a indiqué que le secrétaire général leur a demandé de reprendre le travail et d'entamer une procédure de revendication qui lui semble plus appropriée.
Selon le représentant de la centrale syndicale UGTCI à Vavoua, Beko Gilbert, les travailleurs doivent saisir l'inspection du travail et présenter les accords des années antérieures que leurs employeurs ne respectent pas. Ces accords portent entre autres sur la revalorisation de 8% de leurs salaires, la paie à chaque fin d'année de leur gratification et la date du paiement des salaires qui ne doit excéder le huit de chaque mois.
Pour le porte-parole des travailleurs, la réponse à l'exhortation du secrétaire général de la préfecture se fera après une assemblée générale qui se tiendra ce jeudi à la SIFCI.
Depuis une semaine, les employés de la SIFCI réclament à leur employeur deux gratifications, un mois de salaire en retard et un rappel de 8% de la revalorisation des salaires décidée en 2016.
(AIP)
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