L’impétrant Amalaman N’Da Hugues, 32 ans, a obtenu, jeudi, à la faculté de médecine de l’université de Cocody, la mention "Très honorable", "avec les félicitations du jury" qui autorise l’échange du travail avec les autres universités à l’issue de la soutenance de sa thèse en vue de l’obtention du diplôme de docteur en médecine.
Le thème de la thèse du désormais Docteur de santé publique et médecine préventive portait sur « La perception de l’hémovigilance par les médecins du CHU de Cocody », réalisé en 2017 sous la direction de Pr Cissé Camara, Maître de conférence de Biochimie médicale.
Son étude, la première sur le sujet, relève les difficultés de la gestion du sang, du don jusqu’à son administration à un patient, la protection des patients victimes d’une insécurité transfusionnelle, la traçabilité du sang, la nature des effets indésirables et les réponses à y apporter, les mesures de prévention, tout en faisant des propositions de solution à l’épineuse problématique de la pénurie de sang.
« C’est un travail pionnier qui doit servir de référence. C’est un bon travail sur un sujet nouveau, fait par un impétrant consciencieux, battant, rigoureux, sans trop de fautes, facile à lire », l’a vivement félicité le président du jury, le professeur titulaire de chirurgie orthopédique, Agoh Serge Antoine.
En présence de nombreux parents et amis, Amalaman N’Da Hugues a prêté le serment d’Hippocrate.
(AIP)
aaa/cmas
Le thème de la thèse du désormais Docteur de santé publique et médecine préventive portait sur « La perception de l’hémovigilance par les médecins du CHU de Cocody », réalisé en 2017 sous la direction de Pr Cissé Camara, Maître de conférence de Biochimie médicale.
Son étude, la première sur le sujet, relève les difficultés de la gestion du sang, du don jusqu’à son administration à un patient, la protection des patients victimes d’une insécurité transfusionnelle, la traçabilité du sang, la nature des effets indésirables et les réponses à y apporter, les mesures de prévention, tout en faisant des propositions de solution à l’épineuse problématique de la pénurie de sang.
« C’est un travail pionnier qui doit servir de référence. C’est un bon travail sur un sujet nouveau, fait par un impétrant consciencieux, battant, rigoureux, sans trop de fautes, facile à lire », l’a vivement félicité le président du jury, le professeur titulaire de chirurgie orthopédique, Agoh Serge Antoine.
En présence de nombreux parents et amis, Amalaman N’Da Hugues a prêté le serment d’Hippocrate.
(AIP)
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