Korhogo– Le Nord de la Côte d’Ivoire représente une région importante pour les Etats-Unis, en raison des « défis » à y relever en matière d’assistance aux populations, a déclaré, mercredi à Korhogo, la chargée d’affaires de l’ambassade des Etats-Unis en Côte d’Ivoire, Katherine Brucker.
Selon la diplomate américaine, l’importance de l’intérêt américain pour le Nord ivoirien se traduit dans le nombre élevé des projets que son pays accepte de financer dans cette partie du pays. L’aide américaine touche, entre autres, l’éducation, la santé (VIH/Sida), la justice et l’autonomisation de la femme.
« C’est une visite très intéressante qui m’a aidée à mieux apprécier ce qui se passe dans la région aux niveaux social, politique et économique », a-t-elle notamment confié à des journalistes, lors d’un point de presse, aux termes d’une visite dans la localité.
« Pendant trois jours, j’ai eu l’occasion de parler avec beaucoup de personnes. J’ai visité des entreprises, j’ai travaillé avec des étudiants au lycée (Houphouët Boigny) et à l’université. J’ai visité des orphelins (du sida) et des personnes qui bénéficient des médicaments fournis par le Plan présidentiel américain d'aide d'urgence à la lutte contre le sida (PEPFAR). Et j’’ai vu où va l’argent des Etats-Unis », s’est satisfaite la diplomate américaine, qui devrait se rendre le jour même dans la région du Gbêkê.
kaem/akn/tm
Selon la diplomate américaine, l’importance de l’intérêt américain pour le Nord ivoirien se traduit dans le nombre élevé des projets que son pays accepte de financer dans cette partie du pays. L’aide américaine touche, entre autres, l’éducation, la santé (VIH/Sida), la justice et l’autonomisation de la femme.
« C’est une visite très intéressante qui m’a aidée à mieux apprécier ce qui se passe dans la région aux niveaux social, politique et économique », a-t-elle notamment confié à des journalistes, lors d’un point de presse, aux termes d’une visite dans la localité.
« Pendant trois jours, j’ai eu l’occasion de parler avec beaucoup de personnes. J’ai visité des entreprises, j’ai travaillé avec des étudiants au lycée (Houphouët Boigny) et à l’université. J’ai visité des orphelins (du sida) et des personnes qui bénéficient des médicaments fournis par le Plan présidentiel américain d'aide d'urgence à la lutte contre le sida (PEPFAR). Et j’’ai vu où va l’argent des Etats-Unis », s’est satisfaite la diplomate américaine, qui devrait se rendre le jour même dans la région du Gbêkê.
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