Bouaké-Un atelier de deux jours de restitution d’une étude diagnostique et d’appui au design d’un nouveau schéma du conseil agricole s’est ouvert, jeudi, à Bouaké, en vue de recueillir les observations des acteurs de la filière et proposer des axes d’améliorations des résultats de ladite étude.
Cette étude a été initiée dans le cadre du Projet d’appui au secteur agricole (PSAC) pour améliorer le conseil agricole et régler le problème des discontinuités de rendement constatées au fil des campagnes agricoles, jetant le discrédit et des critiques sur le contenu dudit conseil et suscitant une tendance des producteurs, des acteurs et même des partenaires financiers et techniques à bouder ledit conseil dans son schéma actuel.
Réalisé par le cabinet Lomana, l’étude comporte trois enjeux majeurs à savoir, améliorer l’existant pour tirer profit des opportunités offertes par le zonage, mettre le producteur au centre du conseil agricole en prenant en compte les principales cultures qu’il réalise en plus du coton et séparer les services tangibles (approvisionnement et crédits) des services intangibles (information, formation, assistance technique).
Pour consolider les acquis de la filière, l’Etat de Côte d’Ivoire a obtenu une subvention de l’Union Européenne en vue de financer le projet «Externalisation du conseil agricole de la filière coton», d’une durée de deux ans (2013 à 2015). Ce programme visait à porter la production annuelle de coton graine à 600.000 tonnes au cours de la campagne 2015-2016 et à améliorer la productivité des exploitations pour atteindre un rendement de 1.200 Kg/hectare.
Les réalités du terrain sont loin de ces objectifs. Car, de 450.146 tonnes à la fin de la campagne 2014-2015, avec un rendement de 1080 kg/ha, la production annuelle a chuté au cours de la campagne 2015-2016 à 310.177 tonnes pour 772 kg/ha, avant de remonter, à la campagne 2016-2017, à 328.144,970 tonnes pour 950,59 kg/ha.
Le président de l’Intercoton, Soro Yacouba, le coordonnateur du PSAC, Agnéro Amari, et le directeur régional de l’agriculture et du développement rural, Kouassi Koffi Pascal, ont exhorté les participants à un travail studieux pour apporter des améliorations afin que cette étude atteigne les objectifs escomptés.
nbf/fmo
Cette étude a été initiée dans le cadre du Projet d’appui au secteur agricole (PSAC) pour améliorer le conseil agricole et régler le problème des discontinuités de rendement constatées au fil des campagnes agricoles, jetant le discrédit et des critiques sur le contenu dudit conseil et suscitant une tendance des producteurs, des acteurs et même des partenaires financiers et techniques à bouder ledit conseil dans son schéma actuel.
Réalisé par le cabinet Lomana, l’étude comporte trois enjeux majeurs à savoir, améliorer l’existant pour tirer profit des opportunités offertes par le zonage, mettre le producteur au centre du conseil agricole en prenant en compte les principales cultures qu’il réalise en plus du coton et séparer les services tangibles (approvisionnement et crédits) des services intangibles (information, formation, assistance technique).
Pour consolider les acquis de la filière, l’Etat de Côte d’Ivoire a obtenu une subvention de l’Union Européenne en vue de financer le projet «Externalisation du conseil agricole de la filière coton», d’une durée de deux ans (2013 à 2015). Ce programme visait à porter la production annuelle de coton graine à 600.000 tonnes au cours de la campagne 2015-2016 et à améliorer la productivité des exploitations pour atteindre un rendement de 1.200 Kg/hectare.
Les réalités du terrain sont loin de ces objectifs. Car, de 450.146 tonnes à la fin de la campagne 2014-2015, avec un rendement de 1080 kg/ha, la production annuelle a chuté au cours de la campagne 2015-2016 à 310.177 tonnes pour 772 kg/ha, avant de remonter, à la campagne 2016-2017, à 328.144,970 tonnes pour 950,59 kg/ha.
Le président de l’Intercoton, Soro Yacouba, le coordonnateur du PSAC, Agnéro Amari, et le directeur régional de l’agriculture et du développement rural, Kouassi Koffi Pascal, ont exhorté les participants à un travail studieux pour apporter des améliorations afin que cette étude atteigne les objectifs escomptés.
nbf/fmo
