L’Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) en collaboration avec la Fédération Internationale des Journalistes (FIJ) et l’Union des Journalistes Norvégiens a organisé un atelier de formation de deux jours sur la ‘sécurité et l’égalité des femmes journalistes’’.
C’était le samedi 14 avril 2018 à la maison de la presse Abidjan-Plateau. « Le renforcement des capacités des journalistes occupe une place prépondérante au sein de l’UNJCI. Parce qu’un journaliste mal formé est un danger pour la nation », a indiqué Diomandé N’za, représentant du président des journalistes de Côte d’Ivoire. À cette occasion, Assa Diarra formatrice du genre, par ailleurs journaliste a précisé que cette formation a été mise sur pied pour booster la femme à se mettre au travail et occuper les postes à pourvoir dans tous les domaines d’activités. « Cet atelier a pour but de renforcer les capacités des femmes journalistes. Cette action vise à amener les femmes à prendre toutes leurs places, en luttant pour avoir accès aux postes de responsabilités dans la société en général et dans la presse en particulier. Parce qu’elles sont sous-représentées dans les postes à décision et la presse n’est pas en marge. Nous savons que l’un des instruments qui aide la femme à prendre son envol est la formation. C’est pourquoi nous avons initié cette rencontre », a déclaré Assa Diarra. Poursuivant, elle a ajouté que le ‘’genre’’ est un concept mis en place d’une part dans l’objectif de l’émergence de la femme et d’autre part pour celle de la journaliste. Selon, Rosemonde Kouadio, panéliste, la femme journaliste doit connaitre ses droits et devoirs afin de mieux se défendre et se mettre en sécurité. Cet atelier a été le moment pour les 20 journalistes en formation, de partager leurs expériences pour affronter certaines situations professionnelles.
MO avec OS
C’était le samedi 14 avril 2018 à la maison de la presse Abidjan-Plateau. « Le renforcement des capacités des journalistes occupe une place prépondérante au sein de l’UNJCI. Parce qu’un journaliste mal formé est un danger pour la nation », a indiqué Diomandé N’za, représentant du président des journalistes de Côte d’Ivoire. À cette occasion, Assa Diarra formatrice du genre, par ailleurs journaliste a précisé que cette formation a été mise sur pied pour booster la femme à se mettre au travail et occuper les postes à pourvoir dans tous les domaines d’activités. « Cet atelier a pour but de renforcer les capacités des femmes journalistes. Cette action vise à amener les femmes à prendre toutes leurs places, en luttant pour avoir accès aux postes de responsabilités dans la société en général et dans la presse en particulier. Parce qu’elles sont sous-représentées dans les postes à décision et la presse n’est pas en marge. Nous savons que l’un des instruments qui aide la femme à prendre son envol est la formation. C’est pourquoi nous avons initié cette rencontre », a déclaré Assa Diarra. Poursuivant, elle a ajouté que le ‘’genre’’ est un concept mis en place d’une part dans l’objectif de l’émergence de la femme et d’autre part pour celle de la journaliste. Selon, Rosemonde Kouadio, panéliste, la femme journaliste doit connaitre ses droits et devoirs afin de mieux se défendre et se mettre en sécurité. Cet atelier a été le moment pour les 20 journalistes en formation, de partager leurs expériences pour affronter certaines situations professionnelles.
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