Grand-Lahou -Le responsable départemental du Syndicat national des agents du ministère de l'Intérieur (SYNAMICI) de Grand-Lahou, Siba Joachim, a été brièvement interpellé puis relâché ce mercredi matin, par la police alors que lui et ses membres avaient pris d'assaut l'entrée de la sous-préfecture, pour empêcher son accès à tout usager, a constaté l'AIP.
Vêtus de rouge, ils refoulaient tous les usagers venus établir leurs pièces administratives. "Nous venons empêcher les usagers d'avoir accès à la sous-préfecture jusqu'à la satisfaction de nos revendications", a martelé M. Siba, rejoint en cela par un des manifestants qui a ajouté, "Nous ne laisserons entrer personne a répondu une manifestante".
Face à cette situation de blocage, le commissaire de police s'est rendu sur les lieux pour intimer l'ordre aux manifestants de laisser les usagers et les non grévistes à avoir accès aux locaux de la sous-préfecture.
C'est au vu de ce refus, que la police a dû employer la manière forte en arrêtant le premier responsable dudit syndicat pour le conduire au commissariat. Il a été relaxé après que le calme soit revenu sur les lieux.
Toutefois, les bureaux de la sous-préfecture restent toujours fermés, remarque-t-on.
Appel du bureau national, les membres du SYNAMICI observent une grève de sept jours depuis mardi pour réclamer de meilleures conditions de travail.
rk/fmo
Vêtus de rouge, ils refoulaient tous les usagers venus établir leurs pièces administratives. "Nous venons empêcher les usagers d'avoir accès à la sous-préfecture jusqu'à la satisfaction de nos revendications", a martelé M. Siba, rejoint en cela par un des manifestants qui a ajouté, "Nous ne laisserons entrer personne a répondu une manifestante".
Face à cette situation de blocage, le commissaire de police s'est rendu sur les lieux pour intimer l'ordre aux manifestants de laisser les usagers et les non grévistes à avoir accès aux locaux de la sous-préfecture.
C'est au vu de ce refus, que la police a dû employer la manière forte en arrêtant le premier responsable dudit syndicat pour le conduire au commissariat. Il a été relaxé après que le calme soit revenu sur les lieux.
Toutefois, les bureaux de la sous-préfecture restent toujours fermés, remarque-t-on.
Appel du bureau national, les membres du SYNAMICI observent une grève de sept jours depuis mardi pour réclamer de meilleures conditions de travail.
rk/fmo