Bouaké-Une rencontre d’échange, visant à rétablir la confiance entre l’armée et la population de Bouaké, a eu lieu, samedi, dans le cadre du projet de dialogue civilo-militaire initié par l’ONG Serenti en partenariat avec la fondation Friedrich Ebert Stiftung et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
La présidente de la fondation Serenti, Michèle Pépé, les représentants de la fondation Friedrich Ebert Stiftung, Thilo Schöne, et du PNUD, Mohamed AG Rhissa, ont situé l’objectif de cette rencontre qui est de rechercher les solutions pour le rétablissement de la confiance écorchée par les crises militaires successives, afin de permettre aux forces de défense et de sécurité d’assurer valablement leur mission dans le respect mutuel.
Les éus locaux et le chef du village de Bouaké ont invité les militaires à faire l’effort d’éviter les crises telles que les mutineries qui ont troublé la quiétude des populations et impacté négativement la vie économique dans la localité au cours de l’année 2017.
Ils ont souhaité qu’ils y aient davantage d’occasions d’échanges entre les populations et leur armée, et que l’on retourne aux fondamentaux dans la formation et l’éducation des militaires afin qu’ils apprennent à respecter les populations civiles et qu’ils inspirent la confiance.
De leur côté, les militaires ont affirmé leur disponibilité à dialoguer. Ils ont promis de corriger leurs défauts et d’organiser des journées portes-ouvertes au niveau des camps militaires pour favoriser le rapprochement et permettre aux populations de mieux connaître leur armée.
Nbf/kp
La présidente de la fondation Serenti, Michèle Pépé, les représentants de la fondation Friedrich Ebert Stiftung, Thilo Schöne, et du PNUD, Mohamed AG Rhissa, ont situé l’objectif de cette rencontre qui est de rechercher les solutions pour le rétablissement de la confiance écorchée par les crises militaires successives, afin de permettre aux forces de défense et de sécurité d’assurer valablement leur mission dans le respect mutuel.
Les éus locaux et le chef du village de Bouaké ont invité les militaires à faire l’effort d’éviter les crises telles que les mutineries qui ont troublé la quiétude des populations et impacté négativement la vie économique dans la localité au cours de l’année 2017.
Ils ont souhaité qu’ils y aient davantage d’occasions d’échanges entre les populations et leur armée, et que l’on retourne aux fondamentaux dans la formation et l’éducation des militaires afin qu’ils apprennent à respecter les populations civiles et qu’ils inspirent la confiance.
De leur côté, les militaires ont affirmé leur disponibilité à dialoguer. Ils ont promis de corriger leurs défauts et d’organiser des journées portes-ouvertes au niveau des camps militaires pour favoriser le rapprochement et permettre aux populations de mieux connaître leur armée.
Nbf/kp
