Abengourou - Le ministre de la modernisation de l’administration et de l’innovation du service public, Pascal Kouakou Abinan, a procédé lundi à Anékouadiokro (Abengourou) au lancement d’un projet de création d’une zone écologique (ou poumon vert) dans l’Est de la Côte d’Ivoire en plantant un arbre en bordure du fleuve comoé.
Ce projet, qui s’inscrit dans le cadre de la lutte contre le changement climatique, vise, à terme, à créer un couloir forestier depuis Bouna jusqu’à Aboisso en plantant des arbres tout le long du fleuve comoé. Il s’agit, non seulement, de restaurer l’ombrage et éviter à cette eau de s’évaporer, mais aussi de reconstituer le couvert végétal détruit par les activités anthropiques et lutter ainsi contre la désertification.
« Nous sommes dans une région qui naguère était forestière avec une belle végétation luxuriante. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Et si nous n’y prenons garde, nous serons atteints par le désert. Et comme nous ne voulons pas de cela chez nous, alors nous avons initié ce projet de création d’une forêt de mangrove », a soutenu le ministre Abinan, président élu du conseil régional de l’Indénié-Djuablin.
Ce projet comprend huit composantes dont la composante promotion des énergies renouvelables aux coûts abordables, la composante restauration et gestion durable de la biodiversité, la composante assainissement, protection et gestion durable des ressources en eau et la composante amélioration de la fertilité des terres arides.
rkk
Ce projet, qui s’inscrit dans le cadre de la lutte contre le changement climatique, vise, à terme, à créer un couloir forestier depuis Bouna jusqu’à Aboisso en plantant des arbres tout le long du fleuve comoé. Il s’agit, non seulement, de restaurer l’ombrage et éviter à cette eau de s’évaporer, mais aussi de reconstituer le couvert végétal détruit par les activités anthropiques et lutter ainsi contre la désertification.
« Nous sommes dans une région qui naguère était forestière avec une belle végétation luxuriante. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Et si nous n’y prenons garde, nous serons atteints par le désert. Et comme nous ne voulons pas de cela chez nous, alors nous avons initié ce projet de création d’une forêt de mangrove », a soutenu le ministre Abinan, président élu du conseil régional de l’Indénié-Djuablin.
Ce projet comprend huit composantes dont la composante promotion des énergies renouvelables aux coûts abordables, la composante restauration et gestion durable de la biodiversité, la composante assainissement, protection et gestion durable des ressources en eau et la composante amélioration de la fertilité des terres arides.
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