Séguéla – Les 27 membres des Comités départementaux de lutte contre les pesticides illégaux (CDLPI) de Séguéla et de Kani ont pris part, mardi, à un atelier de renforcement de leurs capacités en vue d’un usage efficient des pesticides et pour prévenir d’éventuelles intoxications.
L’atelier qui s’est déroulé sous la présidence du préfet Benjamin Effoli a porté, entre autres, sur l’importance des pesticides et la réglementation les régissant, la distinction des pesticides autorisés en Côte d’Ivoire, les causes et conséquences de la mauvaise utilisation de ceux-ci ainsi que la lutte contre la fraude sur les pesticides en Côte d’Ivoire.
L’objectif de cet atelier était d’apporter les informations techniques nécessaires aux membres des CDLPI dans l’optique d’éviter de futures intoxications alimentaires.
« Certains de ces produits, très toxiques, font d’énormes dégâts, même à très faible dose », a averti l’inspecteur phytosanitaire et de la qualité point, Kouassi Gaston, dont la structure, la direction de la protection des végétaux, du contrôle et de la qualité (DPVCQ), a bénéficié de l’appui financier de l’Association des entreprises phytosanitaires de Côte d’Ivoire (AMEPHCI), un ensemble de 10 sociétés de la filière, pour la tenue du présent atelier.
Installés en 2017, les CDLPI du Worodougou ont pour mission d’assurer la diffusion de la réglementation sur les pesticides auprès des communautés en général, et des populations agricoles, en particulier, de sensibiliser sur l’utilisation responsable et sécurisée des pesticides, de veiller à l’application des règles phytosanitaires et d’organiser les opérations de contrôle sur l’étendue des différents départements et sur l’ensemble du territoire national.
Une intoxication était survenue en avril à Nandalla, village situé à une quarantaine de kilomètres de Séguéla, où six membres d’une même famille sont morts après avoir consommé un mets contaminé accidentellement.
kkp/fmo
L’atelier qui s’est déroulé sous la présidence du préfet Benjamin Effoli a porté, entre autres, sur l’importance des pesticides et la réglementation les régissant, la distinction des pesticides autorisés en Côte d’Ivoire, les causes et conséquences de la mauvaise utilisation de ceux-ci ainsi que la lutte contre la fraude sur les pesticides en Côte d’Ivoire.
L’objectif de cet atelier était d’apporter les informations techniques nécessaires aux membres des CDLPI dans l’optique d’éviter de futures intoxications alimentaires.
« Certains de ces produits, très toxiques, font d’énormes dégâts, même à très faible dose », a averti l’inspecteur phytosanitaire et de la qualité point, Kouassi Gaston, dont la structure, la direction de la protection des végétaux, du contrôle et de la qualité (DPVCQ), a bénéficié de l’appui financier de l’Association des entreprises phytosanitaires de Côte d’Ivoire (AMEPHCI), un ensemble de 10 sociétés de la filière, pour la tenue du présent atelier.
Installés en 2017, les CDLPI du Worodougou ont pour mission d’assurer la diffusion de la réglementation sur les pesticides auprès des communautés en général, et des populations agricoles, en particulier, de sensibiliser sur l’utilisation responsable et sécurisée des pesticides, de veiller à l’application des règles phytosanitaires et d’organiser les opérations de contrôle sur l’étendue des différents départements et sur l’ensemble du territoire national.
Une intoxication était survenue en avril à Nandalla, village situé à une quarantaine de kilomètres de Séguéla, où six membres d’une même famille sont morts après avoir consommé un mets contaminé accidentellement.
kkp/fmo
