Bouna - Les animaux domestiques, tels les moutons, chiens, porcs, canards et bien d’autres continuent de divaguer dans les rues de Bouna, créant ainsi un grand désarroi chez les usagers de la route.
De multiples campagnes de sensibilisations avaient pourtant été initiées par la mairie aux fins d’inviter les propriétaires de ces bêtes à prendre toutes les dispositions utiles pour les retirer des rues.
Selon le secrétaire général de la mairie, Coulibaly Seydou, une décision d’interdiction avait été prise, en 2014, par le conseil municipal. Mais, dans sa mise en application, cet arrêté municipal, interdisant la divagation d’animaux domestiques, a été confronté à de nombreuses difficultés parmi lesquelles, la non collaboration des populations.
Les porcs de tous genres, sont les plus nombreux à pulluler les ruelles de la ville. A la base de plusieurs accidents de la circulation, ils sont très observés dans les quartiers de Gborontchara, Doropo 2, Aviation, Dassikélédougou et surtout à la gare routière.
«Pour ce qui est du cas particulier des porcs, il est difficile de les traquer. Il faut normalement les fusiller et cela dépasse nos compétences. Il n’ y a que la population, à savoir les propriétaires qui doivent véritablement nous aider», a souligné M. Coulibaly.
Avant l’application d’une future décision plus vigoureuse, ces animaux domestiques, pour l’heure, déambulent majestueusement dans les artères de la ville de Bouna en toute quiétude, et surtout à cœur joie, au mépris des usagers de la route.
(AIP)
on/fmo
De multiples campagnes de sensibilisations avaient pourtant été initiées par la mairie aux fins d’inviter les propriétaires de ces bêtes à prendre toutes les dispositions utiles pour les retirer des rues.
Selon le secrétaire général de la mairie, Coulibaly Seydou, une décision d’interdiction avait été prise, en 2014, par le conseil municipal. Mais, dans sa mise en application, cet arrêté municipal, interdisant la divagation d’animaux domestiques, a été confronté à de nombreuses difficultés parmi lesquelles, la non collaboration des populations.
Les porcs de tous genres, sont les plus nombreux à pulluler les ruelles de la ville. A la base de plusieurs accidents de la circulation, ils sont très observés dans les quartiers de Gborontchara, Doropo 2, Aviation, Dassikélédougou et surtout à la gare routière.
«Pour ce qui est du cas particulier des porcs, il est difficile de les traquer. Il faut normalement les fusiller et cela dépasse nos compétences. Il n’ y a que la population, à savoir les propriétaires qui doivent véritablement nous aider», a souligné M. Coulibaly.
Avant l’application d’une future décision plus vigoureuse, ces animaux domestiques, pour l’heure, déambulent majestueusement dans les artères de la ville de Bouna en toute quiétude, et surtout à cœur joie, au mépris des usagers de la route.
(AIP)
on/fmo
