Bouaflé - La Haute autorité pour la bonne gouvernance a mis en place, vendredi, à Bouaflé, un Comité local d’intégrité pour surveiller et dénoncer les actes de corruption qui ont cours dans la région de la Marahoué.
Ce comité, composé d’acteurs de la société civile, est chargé d’informer et sensibiliser les populations sur les conséquences de la corruption, de surveiller la délivrance des services au public par l’administration, de renforcer les capacités des agents publics et des populations sur la corruption, de mener des enquêtes d’opinion sur la corruption au plan local et faire des propositions pour l’amélioration du dispositif anticorruption.
Le directeur de la sensibilisation et de l’éducation à la HABG, Jacques III Achiaou, qui s’est réjoui de l’installation de cet instrument de veille, a au nom du président de la HABG, N’Golo Coulibaly, exprimé ses remerciements à la société civile et aux autorités locales. Il a exhorté les membres du Comité d’intégrité à jouer pleinement leur rôle pour freiner la corruption et les infractions assimilées dans la Marahoué.
Le sous-préfet de Bouaflé, Ango Aristide, a salué la Haute d’autorité pour la bonne gouvernance pour cette initiative. Il a invité le Comité local d’intégrité à mettre tout en œuvre pour réussir sa mission.
La mise en place du Comité d’intégrité a été faite, lors d’une campagne de sensibilisation des populations de Bouaflé, notamment des ONG, des syndicats ainsi que des associations de jeunes et de femmes sur les conséquences de la corruption.
Initiée par la Haute autorité pour la bonne gouvernance, cette campagne vise, entre autres, à présenter le dispositif de lutte et de prévention contre la corruption ainsi que les infractions assimilées et à amener ces acteurs de la société civile à s’impliquer dans la prévention et la lutte contre ce fléau.
(AIP)
ns/fmo
Ce comité, composé d’acteurs de la société civile, est chargé d’informer et sensibiliser les populations sur les conséquences de la corruption, de surveiller la délivrance des services au public par l’administration, de renforcer les capacités des agents publics et des populations sur la corruption, de mener des enquêtes d’opinion sur la corruption au plan local et faire des propositions pour l’amélioration du dispositif anticorruption.
Le directeur de la sensibilisation et de l’éducation à la HABG, Jacques III Achiaou, qui s’est réjoui de l’installation de cet instrument de veille, a au nom du président de la HABG, N’Golo Coulibaly, exprimé ses remerciements à la société civile et aux autorités locales. Il a exhorté les membres du Comité d’intégrité à jouer pleinement leur rôle pour freiner la corruption et les infractions assimilées dans la Marahoué.
Le sous-préfet de Bouaflé, Ango Aristide, a salué la Haute d’autorité pour la bonne gouvernance pour cette initiative. Il a invité le Comité local d’intégrité à mettre tout en œuvre pour réussir sa mission.
La mise en place du Comité d’intégrité a été faite, lors d’une campagne de sensibilisation des populations de Bouaflé, notamment des ONG, des syndicats ainsi que des associations de jeunes et de femmes sur les conséquences de la corruption.
Initiée par la Haute autorité pour la bonne gouvernance, cette campagne vise, entre autres, à présenter le dispositif de lutte et de prévention contre la corruption ainsi que les infractions assimilées et à amener ces acteurs de la société civile à s’impliquer dans la prévention et la lutte contre ce fléau.
(AIP)
ns/fmo
