Dimbokro – L’utilisation efficiente des pesticides et la prévention d’éventuelles intoxications étaient au centre d’un atelier de renforcement des capacités des membres des Comités départementaux de lutte contre les pesticides illégaux (CDLPI) de la région du N’zi , initié par la Direction de la protection des végétaux, du contrôle et de la qualité (DPVCQ), jeudi, à l’hôtel « Le Jardin d’Eden » à Dimbokro.
L’atelier a réuni notamment le corps préfectoral, de la région du N’zi, des responsables de l’administration, des forces de sécurité, des transporteurs, des distributeurs de produits phytosanitaires et des revendeurs. Il a porté, entre autres, sur l’importance des pesticides et la réglementation les régissant, la distinction des pesticides autorisés en Côte d’Ivoire, les causes et conséquences de la mauvaise utilisation de ceux-ci ainsi que la lutte contre la fraude sur les pesticides en Côte d’Ivoire.
Le premier responsable de DPVCQ, Silué Yénégnéri, a souligné les efforts consentis par le gouvernement ivoirien, depuis 2012, dans la mise en place d’une stratégie afin de diminuer la fraude sur les pesticides illégaux. Il a justifié la tenue de ces assises à Dimbokro par le fait qu’il constitue un carrefour, un passage des pesticides dans cette lutte.
Il a exhorté les participants à conjuguer leurs efforts pour lutter efficacement contre les pesticides frauduleux et contrefaits, en vue de préserver la santé des populations, l’environnement, l’agriculture, l’économie et d’assurer la sécurité alimentaire.
Le représentant du préfet de région du N’zi, N’guessan Kouakou Germain, préfet de Kouassikouassikro qui a présidé l’atelier qui a bénéficié de l’appui technique de CROPLIFE, un ensemble de 10 sociétés de la filière, a souligné le rôle important que joue l’agriculture dans l’économie du pays.
Il a invité les participants à tout mettre en œuvre pour éviter l’entrée des pesticides illégaux sur le terroir ivoirien. L’atelier.
En 2015, la consommation en pesticides de la Côte d’Ivoire pour son agriculture se chiffrait à environ 2000 tonnes.
ik/tm
L’atelier a réuni notamment le corps préfectoral, de la région du N’zi, des responsables de l’administration, des forces de sécurité, des transporteurs, des distributeurs de produits phytosanitaires et des revendeurs. Il a porté, entre autres, sur l’importance des pesticides et la réglementation les régissant, la distinction des pesticides autorisés en Côte d’Ivoire, les causes et conséquences de la mauvaise utilisation de ceux-ci ainsi que la lutte contre la fraude sur les pesticides en Côte d’Ivoire.
Le premier responsable de DPVCQ, Silué Yénégnéri, a souligné les efforts consentis par le gouvernement ivoirien, depuis 2012, dans la mise en place d’une stratégie afin de diminuer la fraude sur les pesticides illégaux. Il a justifié la tenue de ces assises à Dimbokro par le fait qu’il constitue un carrefour, un passage des pesticides dans cette lutte.
Il a exhorté les participants à conjuguer leurs efforts pour lutter efficacement contre les pesticides frauduleux et contrefaits, en vue de préserver la santé des populations, l’environnement, l’agriculture, l’économie et d’assurer la sécurité alimentaire.
Le représentant du préfet de région du N’zi, N’guessan Kouakou Germain, préfet de Kouassikouassikro qui a présidé l’atelier qui a bénéficié de l’appui technique de CROPLIFE, un ensemble de 10 sociétés de la filière, a souligné le rôle important que joue l’agriculture dans l’économie du pays.
Il a invité les participants à tout mettre en œuvre pour éviter l’entrée des pesticides illégaux sur le terroir ivoirien. L’atelier.
En 2015, la consommation en pesticides de la Côte d’Ivoire pour son agriculture se chiffrait à environ 2000 tonnes.
ik/tm
