Vavoua- Les populations de Gouabafla, dans la commune de Vavoua (région du Haut-Sassandra) ont exprimé la grande peur qui les anime ces jours-ci à cause de l'insécurité persistante dans leur localité.
"On a peur. On pouvait quitter notre village si on avait où aller vivre", a confié le notable du chef du village de Gouabafla, Tion Vanié. Il a ajouté que ces bandits n'épargnent personne. Des boutiquiers aux instituteurs, en passant par les paysans et même les voyageurs, personne ne peut se dire être épargné par la furie de ces malfrats non encore identifiés.
Le notable Tion a précisé que les populations préfèrent garder leurs motos et se déplacer désormais à vélos. Car, explique-t-il, les motos sont plus prisés par ces malfaiteurs sur les routes reliant Gouabafla à la ville de Vavoua.
En plus des engins à deux roues, Ty Gnaoré, du comité de gestion (COGES), de l'école primaire publique de ladite localité a informé que ces cambrioleurs emportent sur leur passage les poulets, de l'argent et d'autres biens.
La dernière attaque de ces hommes embusqués date de trois jours et porte sur le domicile du moniteur de la compagnie ivoirienne pour le développement du textile (CIDT), Koné Issa.
Ces bandits opèrent souvent armés de fusils ou d'armes blanches, aux dires des habitants de ce village, une localité d'autochtones Sokia, située à une dizaine de kilomètres de la ville de Vavoua.
sk/fmo
"On a peur. On pouvait quitter notre village si on avait où aller vivre", a confié le notable du chef du village de Gouabafla, Tion Vanié. Il a ajouté que ces bandits n'épargnent personne. Des boutiquiers aux instituteurs, en passant par les paysans et même les voyageurs, personne ne peut se dire être épargné par la furie de ces malfrats non encore identifiés.
Le notable Tion a précisé que les populations préfèrent garder leurs motos et se déplacer désormais à vélos. Car, explique-t-il, les motos sont plus prisés par ces malfaiteurs sur les routes reliant Gouabafla à la ville de Vavoua.
En plus des engins à deux roues, Ty Gnaoré, du comité de gestion (COGES), de l'école primaire publique de ladite localité a informé que ces cambrioleurs emportent sur leur passage les poulets, de l'argent et d'autres biens.
La dernière attaque de ces hommes embusqués date de trois jours et porte sur le domicile du moniteur de la compagnie ivoirienne pour le développement du textile (CIDT), Koné Issa.
Ces bandits opèrent souvent armés de fusils ou d'armes blanches, aux dires des habitants de ce village, une localité d'autochtones Sokia, située à une dizaine de kilomètres de la ville de Vavoua.
sk/fmo
