Man -Dorénavant à Man, les usagers des engins à deux roues ne pourront plus circuler sans casque ni assurance, en vue de lutter contre le nombre croissants d’accidents.
La mesure a été est prise vendredi par le commissaire divisionnaire Ouattara Ibrahima, préfet de police de Man, qui a fait un bilan alarmant des accidents de moto dans la région du Tonkpi (Ouest ivoirien).
« Ces derniers temps, les motos ont assez tué, ici à Man. Et j’ai besoin de la contribution et des propositions des acteurs de la société civile et de la presse pour qu’ensemble, nous puissions réduire ces accidents dont le bilan est assez macabre », a indiqué le commissaire dans les locaux de la préfecture de police de Man.
Ouattara Brahiman a souligné que la police est déjà à l’œuvre. « En trois jours, ce sont 266 motos pour défaut de casque et/ou d’assurance qui ont été interpellées, 239 motos verbalisées », a révélé pour sa part le commissaire principal Zogbo Guy Anselme, préfet de police adjoint de Man.
A cette rencontre, les acteurs de la société civile et de la presse ont, entre autres, invité la police à poursuivre les sensibilisations pour le port du casque. Ils ont préconisé le paiement de l’assurance pour parer à toute éventualité.
Certains ont exhorté le commissaire Ouattara et ses éléments à faire du port du casque une obligation pour tous ceux qui se déplacent sur les engins à deux roues. Ils ont également dénoncé les enfants qui roulent des motos et les jeunes qui pratiquent l’excès de vitesse en ville.
Le préfet de police a bien accueilli les différentes propositions et a promis d'en tenir compte. Cependant, il a invité les acteurs de la société civile à engager des plaidoyers auprès du maire de Man pour la limitation et la réglementation de la vitesse en ville. Et ce, à travers des Arrêtés que la police se chargera d’appliquer.
amak/cmas
La mesure a été est prise vendredi par le commissaire divisionnaire Ouattara Ibrahima, préfet de police de Man, qui a fait un bilan alarmant des accidents de moto dans la région du Tonkpi (Ouest ivoirien).
« Ces derniers temps, les motos ont assez tué, ici à Man. Et j’ai besoin de la contribution et des propositions des acteurs de la société civile et de la presse pour qu’ensemble, nous puissions réduire ces accidents dont le bilan est assez macabre », a indiqué le commissaire dans les locaux de la préfecture de police de Man.
Ouattara Brahiman a souligné que la police est déjà à l’œuvre. « En trois jours, ce sont 266 motos pour défaut de casque et/ou d’assurance qui ont été interpellées, 239 motos verbalisées », a révélé pour sa part le commissaire principal Zogbo Guy Anselme, préfet de police adjoint de Man.
A cette rencontre, les acteurs de la société civile et de la presse ont, entre autres, invité la police à poursuivre les sensibilisations pour le port du casque. Ils ont préconisé le paiement de l’assurance pour parer à toute éventualité.
Certains ont exhorté le commissaire Ouattara et ses éléments à faire du port du casque une obligation pour tous ceux qui se déplacent sur les engins à deux roues. Ils ont également dénoncé les enfants qui roulent des motos et les jeunes qui pratiquent l’excès de vitesse en ville.
Le préfet de police a bien accueilli les différentes propositions et a promis d'en tenir compte. Cependant, il a invité les acteurs de la société civile à engager des plaidoyers auprès du maire de Man pour la limitation et la réglementation de la vitesse en ville. Et ce, à travers des Arrêtés que la police se chargera d’appliquer.
amak/cmas
