Le candidat indépendant Yao Sanian a fait savoir, jeudi, à Diabo qu’il rassemblera tous les cadres et fédérera toutes les énergies, les forces vives et les compétences pour conduire le développement de Diabo, s’il est élu maire au soir du scrutin du 13 octobre.
«Je suis candidat dans cette commune pour essayer de faire ce que je peux en collaboration avec les autres cadres, parce qu’on ne peut pas prétendre développer une agglomération seule, sans la collaboration des autres frères, sans solliciter toutes les énergies disponibles dans cette commune», a indiqué Yao Sanian, lors d’un échange avec la presse à son domicile.
Conduisant la liste «Union et développement de Diabo», il a annoncé que sa première action, s’il est élu, sera de constituer un répertoire de toutes les compétences et de convoquer une grande région de toutes les forces vives pour faire l’inventaire des priorités afin de jeter les bases du travail qui sera fait.
«Diabo, jusque-là n’est qu’un gros village (…) Je crois que Diabo mérite mieux que ça», a souligné M. Yao. L’ingénieur agronome de formation ambitionne de lutter contre les feux de brousse, développer la culture de manioc et d’autres vivriers et en faciliter l’écoulement. Il prévoit, entre autres, d’organiser les femmes productrices de semoule de manioc (attiéké) en coopérative et les aider à trouver des débouchés, créer des fermes, des étangs piscicoles pour les jeunes et investir dans le maraîcher.
nbf/ask
«Je suis candidat dans cette commune pour essayer de faire ce que je peux en collaboration avec les autres cadres, parce qu’on ne peut pas prétendre développer une agglomération seule, sans la collaboration des autres frères, sans solliciter toutes les énergies disponibles dans cette commune», a indiqué Yao Sanian, lors d’un échange avec la presse à son domicile.
Conduisant la liste «Union et développement de Diabo», il a annoncé que sa première action, s’il est élu, sera de constituer un répertoire de toutes les compétences et de convoquer une grande région de toutes les forces vives pour faire l’inventaire des priorités afin de jeter les bases du travail qui sera fait.
«Diabo, jusque-là n’est qu’un gros village (…) Je crois que Diabo mérite mieux que ça», a souligné M. Yao. L’ingénieur agronome de formation ambitionne de lutter contre les feux de brousse, développer la culture de manioc et d’autres vivriers et en faciliter l’écoulement. Il prévoit, entre autres, d’organiser les femmes productrices de semoule de manioc (attiéké) en coopérative et les aider à trouver des débouchés, créer des fermes, des étangs piscicoles pour les jeunes et investir dans le maraîcher.
nbf/ask
