Les producteurs de la noix de cajou ont été sensibilisés sur la norme qualité, lors d’un atelier de formation initié par l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER) tenu samedi à la salle de mariages de la mairie d’Agnibilékrou (Est, région de l’Indénié-Djuablin).
Les techniciens de l’ANADER conduits par le colonel Traoré Bassoumory, coordonnateur national chargé des filière coton, anacarde, mangue et foresterie à la direction générale, ont indiqué aux producteurs l’importance d’avoir une production de qualité.
L’objectif recherché est d’accroître le revenu des producteurs à travers une production qualitative et quantitative, ont expliqué les formateurs qui ont fait plusieurs présentations portant sur l’entretien de la plantation, la vente, la récolte, le séchage et le conditionnement du produit.
"Lorsque votre production respecte la norme qualité, à savoir au moins 50 KOR qui demande que votre produit soit bien séché et bien trié, il n’y a pas de raison que vous ne puissiez pas la vendre au meilleur prix", ont-ils affirmé.
Il a été formellement interdit aux producteurs de sécher leur produit sur le ciment ou le goudron encore moins sur des feuilles de tôle, mais plutôt sur des claies en bambou.
"Cette étape du séchage est très déterminante pour la qualité de votre produit", ont insisté les techniciens de l’ANADER.
Les producteurs de la noix de cajou du département d’Agnibilékrou ont souhaité que de tels ateliers soient frequents, promettant de se conformer aux prescriptions reçues et de recourir régulièrement à la zone Anader pour renforcer leurs capacités dans la culture de l’anacarde.
(AIP)
Jcl/kp
Les techniciens de l’ANADER conduits par le colonel Traoré Bassoumory, coordonnateur national chargé des filière coton, anacarde, mangue et foresterie à la direction générale, ont indiqué aux producteurs l’importance d’avoir une production de qualité.
L’objectif recherché est d’accroître le revenu des producteurs à travers une production qualitative et quantitative, ont expliqué les formateurs qui ont fait plusieurs présentations portant sur l’entretien de la plantation, la vente, la récolte, le séchage et le conditionnement du produit.
"Lorsque votre production respecte la norme qualité, à savoir au moins 50 KOR qui demande que votre produit soit bien séché et bien trié, il n’y a pas de raison que vous ne puissiez pas la vendre au meilleur prix", ont-ils affirmé.
Il a été formellement interdit aux producteurs de sécher leur produit sur le ciment ou le goudron encore moins sur des feuilles de tôle, mais plutôt sur des claies en bambou.
"Cette étape du séchage est très déterminante pour la qualité de votre produit", ont insisté les techniciens de l’ANADER.
Les producteurs de la noix de cajou du département d’Agnibilékrou ont souhaité que de tels ateliers soient frequents, promettant de se conformer aux prescriptions reçues et de recourir régulièrement à la zone Anader pour renforcer leurs capacités dans la culture de l’anacarde.
(AIP)
Jcl/kp