Lakota - Les chefs traditionnels de la sous-préfecture de Niambézaria, sur convocation du président de leur collectif, se sont rencontrés dans le village de Néko où ils ont décidé de rencontrer le Président de la République pour trouver une solution définitive aux fréquentes dégradations des routes de leur région.
Suite aux incessantes pluies qui tombent sur la région, les villages de la sous-préfecture de Niambézaria sont devenus difficilement accessibles. Les routes qui desservent en effet cette région sont transformées en bourbier à tel point que toute circulation devient très difficile, voire impossible. Il faut au minimum deux heures d’horloge pour parcourir les 10 kilomètres qui séparent la ville de Lakota de Néko, premier village de la sous-préfecture de Niambézaria, rapporte-t-on.
« Cette situation d’enclavement paralyse les activités économiques du canton Tigrou qui est pourtant le grenier du département de Lakota », a déploré le président du collectif des chefs traditionnels de la sous-préfecture de Niambézaria, Rabet Gervais, à l’issue de cette rencontre, mardi.
« Nous devons prendre notre destin en main », a-t-il déclaré à ses pairs chefs de village.
Après des échanges, les chefs de villages, une vingtaine, ont décidé d’aller rencontrer le Président de la République pour se confier à lui. Ils comptent associer dans cette démarche leurs homologues de la sous-préfecture de Sago, dans le département de Sassandra. «Nous allons solliciter le bitumage de l’axe Lakota-Sassandra », a dit Rabet Gervais.
gy/kkf/fmo
Suite aux incessantes pluies qui tombent sur la région, les villages de la sous-préfecture de Niambézaria sont devenus difficilement accessibles. Les routes qui desservent en effet cette région sont transformées en bourbier à tel point que toute circulation devient très difficile, voire impossible. Il faut au minimum deux heures d’horloge pour parcourir les 10 kilomètres qui séparent la ville de Lakota de Néko, premier village de la sous-préfecture de Niambézaria, rapporte-t-on.
« Cette situation d’enclavement paralyse les activités économiques du canton Tigrou qui est pourtant le grenier du département de Lakota », a déploré le président du collectif des chefs traditionnels de la sous-préfecture de Niambézaria, Rabet Gervais, à l’issue de cette rencontre, mardi.
« Nous devons prendre notre destin en main », a-t-il déclaré à ses pairs chefs de village.
Après des échanges, les chefs de villages, une vingtaine, ont décidé d’aller rencontrer le Président de la République pour se confier à lui. Ils comptent associer dans cette démarche leurs homologues de la sous-préfecture de Sago, dans le département de Sassandra. «Nous allons solliciter le bitumage de l’axe Lakota-Sassandra », a dit Rabet Gervais.
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