Grand- Bassam- Le secrétariat permanent du comité interministériel de l'action de l'État en Mer (SEPCIM) élabore la stratégie nationale de développement de l’économie bleue dans le cadre d'un atelier de réflexion qui se tient, jeudi et vendredi, à Grand Bassam.
Il s'agit de valider les axes du document de stratégie, de finaliser le cadre logique d'intervention, d’identifier les programmes et projets et définir le macro planning de mise en œuvre.
Pour le représentant résident du programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), Luc Grégoire, l'économie bleue constitue aujourd’hui un nouveau modèle de développement plus ouvert et plus soutenable qui prend appui sur nos spécificités et qui reconnaît nos vulnérabilités.
« Les espaces maritimes et les eaux territoriales regorgent d'énormes richesses qui en font de grandes zones d'intérêt. Il est évident que bien exploitées, ces richesses représenteront de réelles perspectives de développement en termes de ressources énergétiques, d'opportunités d'emplois », a-t-il dit.
Trois défis majeurs restent à relever, à savoir, la délimitation de nos frontières, la connaissance de notre territoire maritime et une évaluation scientifique de ses potentialités en vue de leur mise en valeur et la sécurisation de ce domaine maritime, selon le secrétaire permanent du comité interministériel de l'action de l'État en Mer, Abdoulaye Fofana, représentant le premier ministre, Amadou Gon Coulibaly.
Cet atelier est financé par le programme des Nations Unies pour le développement.
ko/nmfa/ask
Il s'agit de valider les axes du document de stratégie, de finaliser le cadre logique d'intervention, d’identifier les programmes et projets et définir le macro planning de mise en œuvre.
Pour le représentant résident du programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), Luc Grégoire, l'économie bleue constitue aujourd’hui un nouveau modèle de développement plus ouvert et plus soutenable qui prend appui sur nos spécificités et qui reconnaît nos vulnérabilités.
« Les espaces maritimes et les eaux territoriales regorgent d'énormes richesses qui en font de grandes zones d'intérêt. Il est évident que bien exploitées, ces richesses représenteront de réelles perspectives de développement en termes de ressources énergétiques, d'opportunités d'emplois », a-t-il dit.
Trois défis majeurs restent à relever, à savoir, la délimitation de nos frontières, la connaissance de notre territoire maritime et une évaluation scientifique de ses potentialités en vue de leur mise en valeur et la sécurisation de ce domaine maritime, selon le secrétaire permanent du comité interministériel de l'action de l'État en Mer, Abdoulaye Fofana, représentant le premier ministre, Amadou Gon Coulibaly.
Cet atelier est financé par le programme des Nations Unies pour le développement.
ko/nmfa/ask
