Abidjan - Des membres du rotary Club d’Abidjan avec à leur tête leur présidente, Sandrine Kouamé, ont visité une entreprise agricole moderne à Tiassalé, qui compte des plantations de cacao, bananes plantains, moringa, palmier à huile, ainsi que des plantations expérimentales.
Ces plantations de la Société nouvelle ivoirienne agricole de Tiassalé, au dire de l'exploitant agricole, Yohann Albert Daeher, sont les plus modernes de la Côte d’Ivoire, et même de l’Afrique de l’Ouest. Elle sont irriguées par un système moderne de goutte à goutte, avec de l’eau tiré du fleuve Bandama situé non loin de là.
M. Daeher, également membre de ce club Rotary, affirme détenir 300 hectares d’Hévéa, 40 hectares de palmiers à huiles, 40 hectares de plantations expérimentales, 250 hectares de bananes plantains, 100 hectares de cacao, ainsi que l’usines pour faire du thé, de la poudre, de l’huile de moringa et des jus de fruits, et un centre de formation agricole.
Il a expliqué qu’avec la plantation de banane plantain qui est une nouvelle exploitation, il produit trois tonnes par hectares, et prévoit la production de trois milles tonnes de bananes plantains.
Quant aux plantations d’expérimentations, initiée en partenariat avec les sociétés Nestlé et Barrycalbaut, elle permet de mener des activité de recherche et développement sur plusieurs variétés de plants dans le cadre d'un projet agro-forestier.
"L’idée de la plantation d’expérimentation est venue du fait que la banane plantain donne de l’ombrage et comme le cacao est une culture d’ombrage. La banane plantain est utilisée pour apporter de l’ombrage au cacaoyer pendant les deux premières années de sa vie, et lui permettre d’avoir des revenus puisque la banane est irriguée et fertilisée au même moment que le cacaoyer", explique Yohann Albert Daeher.
A la Société nouvelle ivoirienne agricole de Tiassalé, la banane plantain est plantée de manière graduelle, une stratégie qui empêche toute rupture de production de ce fruit sur toute l’année.
sdaf/tm
Ces plantations de la Société nouvelle ivoirienne agricole de Tiassalé, au dire de l'exploitant agricole, Yohann Albert Daeher, sont les plus modernes de la Côte d’Ivoire, et même de l’Afrique de l’Ouest. Elle sont irriguées par un système moderne de goutte à goutte, avec de l’eau tiré du fleuve Bandama situé non loin de là.
M. Daeher, également membre de ce club Rotary, affirme détenir 300 hectares d’Hévéa, 40 hectares de palmiers à huiles, 40 hectares de plantations expérimentales, 250 hectares de bananes plantains, 100 hectares de cacao, ainsi que l’usines pour faire du thé, de la poudre, de l’huile de moringa et des jus de fruits, et un centre de formation agricole.
Il a expliqué qu’avec la plantation de banane plantain qui est une nouvelle exploitation, il produit trois tonnes par hectares, et prévoit la production de trois milles tonnes de bananes plantains.
Quant aux plantations d’expérimentations, initiée en partenariat avec les sociétés Nestlé et Barrycalbaut, elle permet de mener des activité de recherche et développement sur plusieurs variétés de plants dans le cadre d'un projet agro-forestier.
"L’idée de la plantation d’expérimentation est venue du fait que la banane plantain donne de l’ombrage et comme le cacao est une culture d’ombrage. La banane plantain est utilisée pour apporter de l’ombrage au cacaoyer pendant les deux premières années de sa vie, et lui permettre d’avoir des revenus puisque la banane est irriguée et fertilisée au même moment que le cacaoyer", explique Yohann Albert Daeher.
A la Société nouvelle ivoirienne agricole de Tiassalé, la banane plantain est plantée de manière graduelle, une stratégie qui empêche toute rupture de production de ce fruit sur toute l’année.
sdaf/tm
