Gagnoa - Face à l’absence des cours depuis bientôt deux mois dans la région du Gôh, la chefferie de Guibéroua (département Gagnoa), a interpellé dimanche, le Parlement ivoirien, l’invitant à « réagir » devant la situation de blocage constatée.
Le chef du village de Grand Belem (sous-préfecture de Guibéroua), Okou Célestin, a fait cette adresse à la députée de la localité, lors d’échanges publiques entre la parlementaire et une centaine de chefs de villages, de leaders communautaires et de présidents de jeunes, tenue à l'inspection primaire de Guibéroua.
Il a été suivi par le chef central de Guibéroua, Dizoé Bro Robert, également chef du canton Drihi, qui a appelé la vice-présidente de l'Assemblée nationale, Dogo Myss Belmonde, à être l’interlocutrice auprès de ses collègues, afin que l’institution aide à la reprise des cours en Côte d’Ivoire.
« S’il n’y a pas d’école jusqu’à la fin mars, nous aurons consommé l’année blanche », s'inquiétéé la députée, qui sans se prononcer sur le fond des discussions et négociations entre les syndicats de l’éducation-formation et le gouvernement, a lancé un appelle solennelle pour une reprise des cours, en vue de sauver l’école.
Dans la région du Gôh et singulièrement à Gagnoa, les cours ont été interrompus depuis le 11 décembre 2018, lorsque les élèves ont décidé d’anticiper sur les congés de Noël. Depuis cette date, les élèves ont bénéficié à ce jour, de moins d’une dizaine de jours de cours au total, a révélé une source proche de la direction régionale de l’éducation nationale du Gôh.
dd/fmo
Le chef du village de Grand Belem (sous-préfecture de Guibéroua), Okou Célestin, a fait cette adresse à la députée de la localité, lors d’échanges publiques entre la parlementaire et une centaine de chefs de villages, de leaders communautaires et de présidents de jeunes, tenue à l'inspection primaire de Guibéroua.
Il a été suivi par le chef central de Guibéroua, Dizoé Bro Robert, également chef du canton Drihi, qui a appelé la vice-présidente de l'Assemblée nationale, Dogo Myss Belmonde, à être l’interlocutrice auprès de ses collègues, afin que l’institution aide à la reprise des cours en Côte d’Ivoire.
« S’il n’y a pas d’école jusqu’à la fin mars, nous aurons consommé l’année blanche », s'inquiétéé la députée, qui sans se prononcer sur le fond des discussions et négociations entre les syndicats de l’éducation-formation et le gouvernement, a lancé un appelle solennelle pour une reprise des cours, en vue de sauver l’école.
Dans la région du Gôh et singulièrement à Gagnoa, les cours ont été interrompus depuis le 11 décembre 2018, lorsque les élèves ont décidé d’anticiper sur les congés de Noël. Depuis cette date, les élèves ont bénéficié à ce jour, de moins d’une dizaine de jours de cours au total, a révélé une source proche de la direction régionale de l’éducation nationale du Gôh.
dd/fmo