Séguéla– Le préfet de la région du Worodougou, préfet du département de Séguéla, Benjamin Effoli, a tenu à préciser aux représentants des différentes couches de la société locale réunies, jeudi, à la préfecture que le Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) n’est nullement un processus à visée politique, mais plutôt une opération technique et administrative pour mieux implémenter le développement sur l’ensemble du territoire national.
« Ce qui se fait maintenant est une opération technique, administrative. Ce n’est pas une opération antérieure à une élection. Ce n’est pas une opération politique », a-t-il déclaré, invitant donc chacun à être l’ambassadeur du RGPH auprès des autres.
Après le recensement de la population de 2014, le gouvernement ivoirien a décidé, sans attendre la période de 10 ans décrétée, d’un autre RGPH au constat d’’’insuffisances’’ relevées suite à une évaluation commanditée avec l’appui du Fonds des Nations Unies pour la population, l’UNFPA. Ces insuffisances découlent notamment des difficultés d’ordre logistique et financier aggravées par le contexte sociopolitique d’alors.
L’opération politique en lien avec les élections se déroulera en 2020 avec la Révision de la liste électorale (RLE).
« Si nous voulons que notre localité bénéficie de plus d’infrastructures économiques et sociales, il faut faire en sorte que l’opération qui est en cours connaisse un franc succès », a ajouté Benjamin Effoli.
Cinquième recensement après ceux de 1975, 1988, 1998 et 2014, le RGPH de 2019 contribuera à améliorer la connaissance des caractères démographiques et socio-économiques de la population ainsi que de sa dynamique.
Il permettra, entre autres, d’identifier les sites habités, de répertorier et de géo-référencer les infrastructures socio-économiques de base.
kkp/fmo
« Ce qui se fait maintenant est une opération technique, administrative. Ce n’est pas une opération antérieure à une élection. Ce n’est pas une opération politique », a-t-il déclaré, invitant donc chacun à être l’ambassadeur du RGPH auprès des autres.
Après le recensement de la population de 2014, le gouvernement ivoirien a décidé, sans attendre la période de 10 ans décrétée, d’un autre RGPH au constat d’’’insuffisances’’ relevées suite à une évaluation commanditée avec l’appui du Fonds des Nations Unies pour la population, l’UNFPA. Ces insuffisances découlent notamment des difficultés d’ordre logistique et financier aggravées par le contexte sociopolitique d’alors.
L’opération politique en lien avec les élections se déroulera en 2020 avec la Révision de la liste électorale (RLE).
« Si nous voulons que notre localité bénéficie de plus d’infrastructures économiques et sociales, il faut faire en sorte que l’opération qui est en cours connaisse un franc succès », a ajouté Benjamin Effoli.
Cinquième recensement après ceux de 1975, 1988, 1998 et 2014, le RGPH de 2019 contribuera à améliorer la connaissance des caractères démographiques et socio-économiques de la population ainsi que de sa dynamique.
Il permettra, entre autres, d’identifier les sites habités, de répertorier et de géo-référencer les infrastructures socio-économiques de base.
kkp/fmo
