Séguéla – Au total, huit projets ont été exprimés par les chefs de village et de communautés dans le cadre du projet de renforcement de la protection civile en Côte d’Ivoire auquel prennent part le Japon qui le finance à travers le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD) et la protection civile ivoirienne.
La réalisation d’un forage, la construction d’une cantine scolaire ainsi que d’une école, d’un centre de santé, la pose de ralentisseurs ou dos d’âne sur des tronçons de la commune sans omettre la mise à disposition d’un centre d’enfouissement des déchets ménagers formulée par la direction régionale de l’Environnement sont les projets souhaités, a-t-on pu noter, au cours d’une rencontre tenue jeudi dans la salle de réunion de la préfecture.
« Tant que la caserne n’est pas finie, on ne peut pas faire tout ce qui a été cité et promis. Il faut qu’on soit clairs là-dessus », s’est voulu explicite l’expert national du PNUD, Ouattara Peyogou, précisant que, dans le cadre du volet communautaire dudit projet, il est prévu l’acquisition d’une ambulance et d’un véhicule équipé d’une citerne d’une plus grande capacité pour lutter contre les incendies, ainsi que du matériel de travail et la formation des agents.
Selon lui, des villes comme Dabou et Grand-Bassam ont été sorties du projet parce que les constructions des centres de secours d’urgence (CSU) y accusent un grand retard.
Au dire de Ouattara Peyogou, la relation entre le sapeur-pompier et la population est très importante. D'où ce projet pour renforcer la communication afin que chacun ait le réflexe d'appeler les secours dès la survenue d'un accident. Les premiers instants étant primordiaux.
Avec des travaux débutés en 2018, la caserne des sapeurs-pompiers de Séguéla, située à Fizanigoro, dans les environs de l'aérodrome, a plusieurs composantes dont des bureaux, une salle d’études, une infirmerie, une remise, un hangar, un réfectoire et une salle de repos.
(AIP)
kkp/fmo
La réalisation d’un forage, la construction d’une cantine scolaire ainsi que d’une école, d’un centre de santé, la pose de ralentisseurs ou dos d’âne sur des tronçons de la commune sans omettre la mise à disposition d’un centre d’enfouissement des déchets ménagers formulée par la direction régionale de l’Environnement sont les projets souhaités, a-t-on pu noter, au cours d’une rencontre tenue jeudi dans la salle de réunion de la préfecture.
« Tant que la caserne n’est pas finie, on ne peut pas faire tout ce qui a été cité et promis. Il faut qu’on soit clairs là-dessus », s’est voulu explicite l’expert national du PNUD, Ouattara Peyogou, précisant que, dans le cadre du volet communautaire dudit projet, il est prévu l’acquisition d’une ambulance et d’un véhicule équipé d’une citerne d’une plus grande capacité pour lutter contre les incendies, ainsi que du matériel de travail et la formation des agents.
Selon lui, des villes comme Dabou et Grand-Bassam ont été sorties du projet parce que les constructions des centres de secours d’urgence (CSU) y accusent un grand retard.
Au dire de Ouattara Peyogou, la relation entre le sapeur-pompier et la population est très importante. D'où ce projet pour renforcer la communication afin que chacun ait le réflexe d'appeler les secours dès la survenue d'un accident. Les premiers instants étant primordiaux.
Avec des travaux débutés en 2018, la caserne des sapeurs-pompiers de Séguéla, située à Fizanigoro, dans les environs de l'aérodrome, a plusieurs composantes dont des bureaux, une salle d’études, une infirmerie, une remise, un hangar, un réfectoire et une salle de repos.
(AIP)
kkp/fmo
