La délimitation des territoires des villages dans le département de Séguéla (Centre-ouest) a été lancée jeudi au cours d’une cérémonie organisée par l’Agence foncière rurale (AFOR) à la préfecture, au chef-lieu de la région du Worodougou.
Pour le directeur de la communication, de l’information, de la formation et de la sensibilisation de l’AFOR, Coulibaly Nahouo Amadou, cette opération a pour objectif de consolider la paix et de mettre un terme aux récurrents conflits fonciers qui existent entre différents villages.
D’où son appel à un dialogue constant, à ‘’la vérité, à la bonne foi et à la crainte de Dieu’’ pour que les sachants ne soient aucunement tentés de travestir la réalité, gagnés par l’appât du gain, au point de vouloir s’accaparer de terres qu’ils savent pertinemment qu’elles n’appartiennent pas à leur village.
Dans le département de Séguéla, 157 villages repartis dans huit sous-préfectures, à savoir Dualla, Bobi, Diarabana, Massala, Kamalo, Sifié, Worofla et Séguéla sont concernés par cette opération qui a démarré depuis janvier dans certaines localités du pays et durera deux années.
« Autant un enfant qui naît a une identité, a son extrait de naissance, autant chaque village qui est la circonscription administrative de base devrait avoir son extrait qui définit exactement ses limites et tranche ainsi certains problèmes d’avec ses voisins », s’est, pour sa part, exprimé le préfet Benjamin Effoli qui a salué le déplacement massif des populations à cette rencontre.
Aussi, a-t-il exhorté les leaders communautaires à être des ‘’ambassadeurs’’ auprès des leurs afin que cette opération soit une réussite.
Avant Séguéla, la délégation de l’AFOR était à Kani, l’autre département de la région du Worodougou dont une cinquantaine de villages sont concernés par ladite opération.
(AIP)
kkp/ask
Pour le directeur de la communication, de l’information, de la formation et de la sensibilisation de l’AFOR, Coulibaly Nahouo Amadou, cette opération a pour objectif de consolider la paix et de mettre un terme aux récurrents conflits fonciers qui existent entre différents villages.
D’où son appel à un dialogue constant, à ‘’la vérité, à la bonne foi et à la crainte de Dieu’’ pour que les sachants ne soient aucunement tentés de travestir la réalité, gagnés par l’appât du gain, au point de vouloir s’accaparer de terres qu’ils savent pertinemment qu’elles n’appartiennent pas à leur village.
Dans le département de Séguéla, 157 villages repartis dans huit sous-préfectures, à savoir Dualla, Bobi, Diarabana, Massala, Kamalo, Sifié, Worofla et Séguéla sont concernés par cette opération qui a démarré depuis janvier dans certaines localités du pays et durera deux années.
« Autant un enfant qui naît a une identité, a son extrait de naissance, autant chaque village qui est la circonscription administrative de base devrait avoir son extrait qui définit exactement ses limites et tranche ainsi certains problèmes d’avec ses voisins », s’est, pour sa part, exprimé le préfet Benjamin Effoli qui a salué le déplacement massif des populations à cette rencontre.
Aussi, a-t-il exhorté les leaders communautaires à être des ‘’ambassadeurs’’ auprès des leurs afin que cette opération soit une réussite.
Avant Séguéla, la délégation de l’AFOR était à Kani, l’autre département de la région du Worodougou dont une cinquantaine de villages sont concernés par ladite opération.
(AIP)
kkp/ask
