Agboville– L’imam de la mosquée centrale d’Agboville, El Hadj Diarra Ibrahim Kalilou, a invité, dimanche, les fidèles musulmans à s’inscrire dans la dynamique d’un réel pardon susceptible de conduire le pays à une vraie réconciliation.
A cet effet, l’imam Diarra, qui intervenait dans le cadre de la prière consacrant la fête de Tabaski ou du mouton en souvenir au sacrifice d’Abraham selon le Coran, a demandé aux musulmans de faire en sorte que leur foi repose sur ‘’la tolérance, l’amour et le pardon pour que la cohésion sociale soit préservée. Car sans la cohésion, il n’y a pas de paix, ni de développement’’.
Pour lui, le véritable pardon qui conduit à une vraie réconciliation doit provenir du fort intérieur de chacun, déjà parfaitement apaisé et réconcilié avec lui-même sur la base de la soumission et de l’obéissance aux prescriptions divines.
C’est pourquoi il a souhaité que chaque fidèle musulman fasse un mea-culpa sincère qui se nourrit d’honnêteté et d’humilité, car le pardon de Dieu efface, a-t-il-dit, toute haine, toute colère, tout désir de vengeance.
Un comportement qui soit de nature à faciliter le vivre ensemble avec les autres communautés pour faire avancer le pays, a-t-il conclu devant un parterre de cadres et élus, notamment le préfet de région André Ekponon, le député Adama Bictogo, le président du Conseil régional, l’ambassadeur de Côte d’Ivoire aux Etats-Unis, Haïdara Mohamed etc. .
Quand au préfet de région Ekponon André, prenant la parole au nom des personnalités présentes, il a demandé aux fidèles musulmans de continuer à prier pour le pays et ses dirigeants, en particulier pour le chef de l’Etat, afin qu’il jouisse d’une bonne santé pour mener à bien ses projets au profit du pays.
yy/fmo
A cet effet, l’imam Diarra, qui intervenait dans le cadre de la prière consacrant la fête de Tabaski ou du mouton en souvenir au sacrifice d’Abraham selon le Coran, a demandé aux musulmans de faire en sorte que leur foi repose sur ‘’la tolérance, l’amour et le pardon pour que la cohésion sociale soit préservée. Car sans la cohésion, il n’y a pas de paix, ni de développement’’.
Pour lui, le véritable pardon qui conduit à une vraie réconciliation doit provenir du fort intérieur de chacun, déjà parfaitement apaisé et réconcilié avec lui-même sur la base de la soumission et de l’obéissance aux prescriptions divines.
C’est pourquoi il a souhaité que chaque fidèle musulman fasse un mea-culpa sincère qui se nourrit d’honnêteté et d’humilité, car le pardon de Dieu efface, a-t-il-dit, toute haine, toute colère, tout désir de vengeance.
Un comportement qui soit de nature à faciliter le vivre ensemble avec les autres communautés pour faire avancer le pays, a-t-il conclu devant un parterre de cadres et élus, notamment le préfet de région André Ekponon, le député Adama Bictogo, le président du Conseil régional, l’ambassadeur de Côte d’Ivoire aux Etats-Unis, Haïdara Mohamed etc. .
Quand au préfet de région Ekponon André, prenant la parole au nom des personnalités présentes, il a demandé aux fidèles musulmans de continuer à prier pour le pays et ses dirigeants, en particulier pour le chef de l’Etat, afin qu’il jouisse d’une bonne santé pour mener à bien ses projets au profit du pays.
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