Korhogo, Les consultations pour recueillir des propositions en vue d’établir des règles consensuelles pour une gouvernance foncière durable dans le canton Tioroniaradougou (Nord, région du Poro) se poursuivaient mercredi à Dasoumgboho, second chef-lieu de sous-préfecture du canton.
Dix-sept autres chefs de village et une cinquantaine de leurs collaborateurs y ont pris part à un deuxième atelier organisé à cet effet, après le premier tenu les lundi et mardi à Tioroniaradougou, chef-lieu du canton du même nom.
Ces rencontres, qui s’achèvent samedi dans le village de Nambékaha où devrait se tenir un dernier atelier avec les 13 chefs de villages restants du canton et leurs collaborateurs, interviennent dans le cadre d’un « projet d’expérimentation pilote d’une gouvernance foncière inclusive en Côte d’Ivoire », exécuté par l’Animation rurale de Korhogo (ARK, Ong) en partenariat avec l’Association de soutien à l’autopromotion sanitaire urbaine (ASAPSU, Abidjan) et le centre de formation Inades-Formation (Abidjan).
Elles visent à recueillir les avis et suggestions de la communauté afin d’établir des règles consensuelles pour une meilleure gestion des terres. Ces règles feront l’objet d’une validation par l’ensemble des 63 chefs de villages qui composent le canton et seront consignées dans un document pour servir à expérimenter une gouvernance foncière inclusive et durable dans le canton, a indiqué un membre de l’ARK.
A travers ce projet, l’Ong et ses partenaires espèrent apporter une solution consensuelle aux conflits d’héritage de terre et proposer un modèle tout aussi consensuel de contractualisation qui pérennise les droits des exploitants non propriétaires.
Ils espèrent également parvenir à établir, toujours sur la base du dialogue et du consensus, des principes de règlement paisible et durable des conflits entre agriculteurs et éleveurs ainsi que des modes d’accès durables à la terre pour la femme.
Selon l’Ong, ce projet d’expérimentation d’une gouvernance foncière inclusive et durable a connu de précédentes mises en œuvre dans les villages de Kébi (Boundiali) et de Niakoragui et Yabayo (Soubré) il y a deux ans.
(AIP)
kaem/fmo
Dix-sept autres chefs de village et une cinquantaine de leurs collaborateurs y ont pris part à un deuxième atelier organisé à cet effet, après le premier tenu les lundi et mardi à Tioroniaradougou, chef-lieu du canton du même nom.
Ces rencontres, qui s’achèvent samedi dans le village de Nambékaha où devrait se tenir un dernier atelier avec les 13 chefs de villages restants du canton et leurs collaborateurs, interviennent dans le cadre d’un « projet d’expérimentation pilote d’une gouvernance foncière inclusive en Côte d’Ivoire », exécuté par l’Animation rurale de Korhogo (ARK, Ong) en partenariat avec l’Association de soutien à l’autopromotion sanitaire urbaine (ASAPSU, Abidjan) et le centre de formation Inades-Formation (Abidjan).
Elles visent à recueillir les avis et suggestions de la communauté afin d’établir des règles consensuelles pour une meilleure gestion des terres. Ces règles feront l’objet d’une validation par l’ensemble des 63 chefs de villages qui composent le canton et seront consignées dans un document pour servir à expérimenter une gouvernance foncière inclusive et durable dans le canton, a indiqué un membre de l’ARK.
A travers ce projet, l’Ong et ses partenaires espèrent apporter une solution consensuelle aux conflits d’héritage de terre et proposer un modèle tout aussi consensuel de contractualisation qui pérennise les droits des exploitants non propriétaires.
Ils espèrent également parvenir à établir, toujours sur la base du dialogue et du consensus, des principes de règlement paisible et durable des conflits entre agriculteurs et éleveurs ainsi que des modes d’accès durables à la terre pour la femme.
Selon l’Ong, ce projet d’expérimentation d’une gouvernance foncière inclusive et durable a connu de précédentes mises en œuvre dans les villages de Kébi (Boundiali) et de Niakoragui et Yabayo (Soubré) il y a deux ans.
(AIP)
kaem/fmo
