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Politique Publié le jeudi 24 octobre 2019 | L’Essor Ivoirien

Condamnation de Jacques Mangoua / Demande de sa libération par son parti: Ouattara est étranger aux malheurs du vice-président du PDCI

© L’Essor Ivoirien Par Cissé T.
Visite du médiateur de la république dans la ville de Béoumi
Béoumi 14 juin 2019. En visite, dans la localité de Béoumi, pour apporter son soutien et sa compassion aux familles éplorées, le médiateur de la république, Adama Toungara a exhorté les populations à continuer à cultiver le vivre ensemble, tout en tirant les leçons des récents évènements qui ont endeuillé la région Photo : Mangoua Jacques, Président du conseil régional du Gbêkê
Pour le renforcement des institutions pour la paix et la bonne gouvernance, Ouattara en tant que grand démocrate et apôtre de la paix ne badine pas avec les droits fondamentaux de ses concitoyens. Il en a fait l’un des fondamentaux de la bonne gouvernance et de la démocratie dans son pays et le socle de la paix et de la stabilité retrouvées après la longue crise postélectorale de 2010 à 2011.

‘’Justice et Droits de l’Homme’’, tel est l’intitulé du programme que le président Alassane Ouattara a pensé, mûri et mis en pratique dès le début de son premier mandat jusqu’à ce jour. Pas besoin de rappeler que le Chef de l’Etat ivoirien est un homme de parole donnée toujours honorée. Et il l’a toujours observée, ne se détournant jamais de ses promesses. C’est ainsi que juste après son élection, il s’est démarqué de tous les ‘’dictateurs’’ que l’Afrique ait connus, en reconnaissant que tout citoyen, quel qu’il soit, a droit au respect de ses droits fondamentaux tels que définis dans la Constitution de la Côte d’Ivoire et dans la Charte des Nations Unies. Ce vœu qui lui est cher, il l’a partagé avec les présidents des institutions de la République, en donnant ce commandement nouveau. ‘’Il est de la responsabilité de nos institutions de veiller au respect de ces droits, notamment pour les personnes, les plus faibles de notre société. C’est pourquoi, nous faisons de l’accessibilité et de l’indépendance de la Justice, un credo pour que le droit soit toujours dit au bénéfice des justiciables. Nous voulons que chaque Ivoirien quel que soit son niveau de vie, ses origines culturelles ou géographiques, puisse saisir la justice avec confiance pour rentrer dans ses droits’’.
Voila qui est bien clair et prouve aux yeux de ses concitoyens qu’il n’y a pas de justice à double vitesse ou aux ordres du pouvoir exécutif. Les parkings sont partagés, c'est-à-dire, qu’il y a une nette séparation des pouvoirs entre l’exécutif, le législatif et le judiciaire. Il n’est pas concerné par la condamnation le 03 Octobre de Jacques Mangoua. Il n’est pas le responsable des malheurs de ce Vice-président du PDCI pour que son parti lui réclame sa libération. Il n’y a que ceux qui sont dans l’opposition et qui ne savent rien de cette recommandation du Chef de l’Etat ivoirien qui lui font un mauvais procès par manque de connaissance des consignes fermes du président Alassane Ouattara à toutes les institutions de la République dont la Justice ivoirienne pour qu’elle accomplisse sa mission sans contrainte aucune ou sans harcèlement ou une ‘’dictée’’ du pouvoir exécutif comme le pensent à tort ses adversaires politiques qui lui cherchent inutilement noise. Pour faire simplement le buzz tant en Côte d’Ivoire qu’à l’extérieur.

• Ces mesures démocratiques.
Le président Alassane Ouattara qui ne fait jamais les choses à moitié, a mis en route la réforme du Conseil Supérieur de la Magistrature, a fait adopter un nouveau statut de la magistrature et des lois organiques des juridictions supérieures. Des moyens colossaux ont été dégagés pour la construction des juridictions de Commerce à Abidjan Sud, Bouaké et San Pedro, la promotion et la vulgarisation des modes alternatifs de règlement de litiges. Ce n’est pas tout. Il y a eu la reforme de la carte judiciaire par la création de nouvelles juridictions et de nouveaux établissements pénitentiaires. Il a procédé aussi à la mise en place d’un système d’information et de communication judiciaire accessible aux citoyens. Le président Alassane Ouattara ne s’est pas arrêté là dans les mesures-clés prises pour le respect des droits fondamentaux de ses concitoyens. Il est allé plus loin en faisant adopter un projet de loi pour l’amélioration de l’assistance judiciaire et juridique, renforcé les capacités opérationnelles de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI).

Quand un Chef de l’Etat appelle au respect scrupuleux des droits fondamentaux de ses concitoyens, il n’y a pas de déni de démocratie, ni de dictature, ni de justice aux ordres. Tout ce qui se dit de la part de l’opposition ivoirienne dans l’affaire Mangoua Jacques n’est qu’un tissu de mensonges et des calomnies. Ouattara est le ‘’champion, le père’’ du respect rigoureux des Droits de l’Homme dans ce pays et de la séparation vraie des pouvoirs.

Igor Wawayou.
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