Des femmes du quartier Konankro-Vatican de Divo ont manifesté, jeudi, contre la mort qualifiée de "suspecte" de deux enfants dont les corps sans vie ont été découverts dans une fosse septique, il y a deux jours.
La marche, démarrée vers 10H30, s’est déroulée sur près de 500 m sur l’accotement de la voie principale du quartier. Certaines des manifestantes tenaient des rameaux, le visage badigeonné de kaolin, réclamant leurs enfants.
Des responsables de la police, venus à leur rencontre quelques minutes plus tard, ont mettre un terme à cette marche, après qu’ils ont reçu les représentants des familles endeuillés et quelques habitants du quartier pour enregistrer leurs griefs et témoignages.
Les deux enfants, âgés de 9 ans, étaient deux amis et portés disparus deux jours avant la découverte, mardi, de leurs corps.
Dans le quartier, les rumeurs ont vite couru pour laisser entendre que les corps des enfants, ressortis par les sapeurs-pompiers étaient mutilés, laissant penser à un assassinat. Mais, les premières constatations médicales ne signalent aucune mutilation, ni amputation d’un quelconque organe sur les deux corps gardés à la morgue du centre hospitalier régional (CHR) de Divo.
Des investigations policières sont en cours pour déterminer les circonstances et les causes de leur mort.
(AIP)
Jmk/kp
La marche, démarrée vers 10H30, s’est déroulée sur près de 500 m sur l’accotement de la voie principale du quartier. Certaines des manifestantes tenaient des rameaux, le visage badigeonné de kaolin, réclamant leurs enfants.
Des responsables de la police, venus à leur rencontre quelques minutes plus tard, ont mettre un terme à cette marche, après qu’ils ont reçu les représentants des familles endeuillés et quelques habitants du quartier pour enregistrer leurs griefs et témoignages.
Les deux enfants, âgés de 9 ans, étaient deux amis et portés disparus deux jours avant la découverte, mardi, de leurs corps.
Dans le quartier, les rumeurs ont vite couru pour laisser entendre que les corps des enfants, ressortis par les sapeurs-pompiers étaient mutilés, laissant penser à un assassinat. Mais, les premières constatations médicales ne signalent aucune mutilation, ni amputation d’un quelconque organe sur les deux corps gardés à la morgue du centre hospitalier régional (CHR) de Divo.
Des investigations policières sont en cours pour déterminer les circonstances et les causes de leur mort.
(AIP)
Jmk/kp
