Séguéla– Le maire de Séguéla, Diomandé Lassina, a fait part, mercredi 15 juillet 2020, de son engagement à exécuter les travaux d’assainissement qui ont été la cause d’une marche de protestation des commerçantes du grand marché un peu plus tôt dans la matinée.
« Les travaux vont débuter même s’il y a des incompréhensions parce que (…) je n’ai pas demandé de quitter tout le marché, mais de libérer un pan de la route qui, je le répète, n’est pas le marché », s’est-il voulu catégorique, tout en précisant que les personnes concernées avaient été rencontrées et toutes avaient donné leur accord à l’issue de plusieurs rencontres dont la dernière s’est tenue fin avril à la mairie.
Pour ce faire, les premiers voyages de sable seront versés sous peu, a fait savoir Diomandé Lassina.
Des dizaines de femmes ont fait fermer le marché et battu le pavé pour dénoncer, disent-elles, la volonté du maire de les ‘’chasser’’.
« Les sapeurs-pompiers ont fait plusieurs rapports qui indiquent que le marché de Séguéla est une bombe à retardement parce que rien n’est respecté là-bas. Il n’y a pas de possibilité de circuler pour les pompiers, en cas d’incendie, et pour les agents du service technique, pour le ramassage des ordures », a ajouté Diomandé Lassina qui indique que ‘’toutes les bouches d’incendie sont coincées entre des magasins’’ et les toilettes obstruées par les installations anarchiques.
Construit en 1978 à l’occasion de la célébration tournante de la fête de l’indépendance qui s’était déroulée à Séguéla, le grand marché de la capitale de la région du Worodougou est l’une des dernières infrastructures de cette époque qui n’ait pas encore été ravagée par les flammes, note-t-on.
Kkp/ask
« Les travaux vont débuter même s’il y a des incompréhensions parce que (…) je n’ai pas demandé de quitter tout le marché, mais de libérer un pan de la route qui, je le répète, n’est pas le marché », s’est-il voulu catégorique, tout en précisant que les personnes concernées avaient été rencontrées et toutes avaient donné leur accord à l’issue de plusieurs rencontres dont la dernière s’est tenue fin avril à la mairie.
Pour ce faire, les premiers voyages de sable seront versés sous peu, a fait savoir Diomandé Lassina.
Des dizaines de femmes ont fait fermer le marché et battu le pavé pour dénoncer, disent-elles, la volonté du maire de les ‘’chasser’’.
« Les sapeurs-pompiers ont fait plusieurs rapports qui indiquent que le marché de Séguéla est une bombe à retardement parce que rien n’est respecté là-bas. Il n’y a pas de possibilité de circuler pour les pompiers, en cas d’incendie, et pour les agents du service technique, pour le ramassage des ordures », a ajouté Diomandé Lassina qui indique que ‘’toutes les bouches d’incendie sont coincées entre des magasins’’ et les toilettes obstruées par les installations anarchiques.
Construit en 1978 à l’occasion de la célébration tournante de la fête de l’indépendance qui s’était déroulée à Séguéla, le grand marché de la capitale de la région du Worodougou est l’une des dernières infrastructures de cette époque qui n’ait pas encore été ravagée par les flammes, note-t-on.
Kkp/ask
