Kong - Le marché de Kong a enregistré ses premiers tubercules d'ignames il y a une semaine, contrairement aux précédentes saisons où apparaissaient les premières ignames dès le mois de juin.
Selon des agriculteurs, cette situation est due au changement climatique qui n'est pas encore maîtrisé par les cultivateurs.
« Chaque année, nous faisons l'effort de respecter les techniques culturales. Mais certains phénomènes naturels empêchent la constance dans la production », a indiqué Shep Samuel, un cultivateur à Kolon, la plus grande zone de production d'ignames dans le département de Kong.
Cette situation fait baisser non seulement la quantité de production d'ignames mais elle affecte également la qualité. Pour résoudre ce problème, l'Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR) procède chaque année à des séances de sensibilisation dans toute la zone Nord-Est du parc national de la Comoé, afin de lutter contre la dégradation de la faune et de la flore, a-t-on appris.
kkiv/ano/fmo
Selon des agriculteurs, cette situation est due au changement climatique qui n'est pas encore maîtrisé par les cultivateurs.
« Chaque année, nous faisons l'effort de respecter les techniques culturales. Mais certains phénomènes naturels empêchent la constance dans la production », a indiqué Shep Samuel, un cultivateur à Kolon, la plus grande zone de production d'ignames dans le département de Kong.
Cette situation fait baisser non seulement la quantité de production d'ignames mais elle affecte également la qualité. Pour résoudre ce problème, l'Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR) procède chaque année à des séances de sensibilisation dans toute la zone Nord-Est du parc national de la Comoé, afin de lutter contre la dégradation de la faune et de la flore, a-t-on appris.
kkiv/ano/fmo
