Bouaké - Une vingtaine de femmes et de jeunes filles leaders d’associations de la région des Gbêkê ont pris part samedi 29 août 2020 à Bouaké à un atelier de formation sur l’utilisation du guide pratique sur l’alerte précoce et les réseaux d’information organisé à leur intention par le Centre de recherche politique d’Abidjan (CRPA).
Selon la formatrice, Doffou Pulchérie, il s’agissait, au cours de cet atelier qui s’inscrivait dans le cadre de la seconde phase du programme de prévention des conflits communautaires en Côte d’Ivoire (2P2C-CI), d’instruire les participantes sur le contenu de ce guide conçu sur la base de ce qu’elles ont reçu comme formation lors de la première phase du projet et des retours d’expériences qu’elles ont vécues sur le terrain, ce guide
L’objectif assigné à ce guide pratique est d’accompagner les bénéficiaires du projet 2P2C-CI ainsi que tous les acteurs et organisations de la société civile investis dans la gestion des conflits communautaires en Côte d’Ivoire.
« Il vise à apporter un appui aux leaders des associations et organisations féminines et aussi à tous les leaders et acteurs de la vie communautaire sociopolitique dans la prévention des conflits, mettre à disposition de tous ces acteurs des outils pratiques de système d’alerte précoce (SAP) et de réseaux d’information idoines pour agir en faveur de la paix dans leur environnement respectif, diffuser et partager des connaissances ainsi que des expériences pratiques liées à la prévention des conflits communautaires à travers le SAP et les réseaux d’information », précise-t-on.
Le programme de prévention des conflits communautaire (2P2C-CI) comprend deux grandes phases et touche sept localités de la Côte d’Ivoire. A savoir, Abidjan, Bouaké, Duékoué, Ferkéssédougou, Gagnoa, Korhogo et Man.
Dans sa première phase, le programme a renforcé, par un atelier de formation, les capacités de 139 femmes et jeunes filles leaders communautaires œuvrant dans le domaine de la gestion des conflits communautaires. Dans sa seconde phase, le projet consiste à élaborer et publier un guide pratique sur l’alerte précoce et les réseaux d’information, ainsi qu’à former les récipiendaires du projet sur son utilisation pour la prévention des conflits communautaires dans leur environnement.
rkk
Selon la formatrice, Doffou Pulchérie, il s’agissait, au cours de cet atelier qui s’inscrivait dans le cadre de la seconde phase du programme de prévention des conflits communautaires en Côte d’Ivoire (2P2C-CI), d’instruire les participantes sur le contenu de ce guide conçu sur la base de ce qu’elles ont reçu comme formation lors de la première phase du projet et des retours d’expériences qu’elles ont vécues sur le terrain, ce guide
L’objectif assigné à ce guide pratique est d’accompagner les bénéficiaires du projet 2P2C-CI ainsi que tous les acteurs et organisations de la société civile investis dans la gestion des conflits communautaires en Côte d’Ivoire.
« Il vise à apporter un appui aux leaders des associations et organisations féminines et aussi à tous les leaders et acteurs de la vie communautaire sociopolitique dans la prévention des conflits, mettre à disposition de tous ces acteurs des outils pratiques de système d’alerte précoce (SAP) et de réseaux d’information idoines pour agir en faveur de la paix dans leur environnement respectif, diffuser et partager des connaissances ainsi que des expériences pratiques liées à la prévention des conflits communautaires à travers le SAP et les réseaux d’information », précise-t-on.
Le programme de prévention des conflits communautaire (2P2C-CI) comprend deux grandes phases et touche sept localités de la Côte d’Ivoire. A savoir, Abidjan, Bouaké, Duékoué, Ferkéssédougou, Gagnoa, Korhogo et Man.
Dans sa première phase, le programme a renforcé, par un atelier de formation, les capacités de 139 femmes et jeunes filles leaders communautaires œuvrant dans le domaine de la gestion des conflits communautaires. Dans sa seconde phase, le projet consiste à élaborer et publier un guide pratique sur l’alerte précoce et les réseaux d’information, ainsi qu’à former les récipiendaires du projet sur son utilisation pour la prévention des conflits communautaires dans leur environnement.
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