Kong - Plusieurs producteurs d'anacarde dans le département de Kong sont toujours en attente du reversement de leurs gains après avoir confié leurs produits à des groupements à vocation coopérative depuis plusieurs mois.
Cette situation inquiète les agriculteurs à la veille de la rentrée des classes, fixée cette année au 14 septembre. A Djangbanasso, village situé à huit kilomètres de Kong, plusieurs producteurs vivent difficilement cette période à l'instar d'un paysan qui a requis l'anonymat. "Aujourd'hui, nous, parents d'élèves, sommes dans la tourmente. Nous n'avons pas d'argent pour scolariser nos enfants. Si rien n'est fait pour nous, nos enfants n'iront pas à l'école", s'est-il inquiété.
Pour Palé Sébou, agriculteur à Kong, les responsables des structures coopératives doivent impérativement trouver une solution ces jours ci, afin que la campagne à venir se fasse dans un climat de paix et surtout de confiance pour le bonheur des producteurs d'anacarde de Kong.
Quelques uns de leurs collègues avaient déjà perçu leurs gains au cours d'une cérémonie organisée par la coopérative agricole Doussou-Souman dans le mois de mai, et depuis lors plus rien. Mais la majorité d'entre eux restent dubitatifs en attendant le paiement de leurs dus.
kkiv/aaa/tm
Cette situation inquiète les agriculteurs à la veille de la rentrée des classes, fixée cette année au 14 septembre. A Djangbanasso, village situé à huit kilomètres de Kong, plusieurs producteurs vivent difficilement cette période à l'instar d'un paysan qui a requis l'anonymat. "Aujourd'hui, nous, parents d'élèves, sommes dans la tourmente. Nous n'avons pas d'argent pour scolariser nos enfants. Si rien n'est fait pour nous, nos enfants n'iront pas à l'école", s'est-il inquiété.
Pour Palé Sébou, agriculteur à Kong, les responsables des structures coopératives doivent impérativement trouver une solution ces jours ci, afin que la campagne à venir se fasse dans un climat de paix et surtout de confiance pour le bonheur des producteurs d'anacarde de Kong.
Quelques uns de leurs collègues avaient déjà perçu leurs gains au cours d'une cérémonie organisée par la coopérative agricole Doussou-Souman dans le mois de mai, et depuis lors plus rien. Mais la majorité d'entre eux restent dubitatifs en attendant le paiement de leurs dus.
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