Alépé - La rentrée scolaire fixée au lundi 14 septembre 2020 par le ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement technique et de la Formation professionnelle n'est pas encore effective dans les établissements primaires publics et secondaires du département d'Alépé, localité située à 40 km d'Abidjan, a constaté l'AIP, jeudi.
Dans les établissements visités, le constat est le même, du Groupe scolaire Alépé FED au Lycée moderne en passant par le Lycée Ahouchi Pergaud de Montézo. Aucune présence d'élèves en uniforme mais quelques-uns en civil avec leurs parents se renseignaient sur les modalités d'inscription physique.
Le personnel administratif et les enseignants eux sont à leur poste. "Nous sommes prêts pour entamer la nouvelle année scolaire 2020-2021 puisque après la réunion de rentrée, les professeurs ont retiré leur emploi du temps sauf que les élèves traînent les pieds pour s'inscrire mais tout rentrera dans l'ordre dans les semaines à venir", a confié le censeur du Lycée moderne d'Alépé, Djè Bi Boli Augustin.
"L'inscription coûte chère, il y a l'inscription en ligne puis l'inscription physique et les fournitures. Donc, j'attends l'achat de mes produits agricoles pour inscrire mes trois enfants parce que je n'ai pas d'argent", a dit Yoman Simplice, un planteur du département rencontré dans la cour du Lycée.
(AIP)
ayn/kkf/cmas
Dans les établissements visités, le constat est le même, du Groupe scolaire Alépé FED au Lycée moderne en passant par le Lycée Ahouchi Pergaud de Montézo. Aucune présence d'élèves en uniforme mais quelques-uns en civil avec leurs parents se renseignaient sur les modalités d'inscription physique.
Le personnel administratif et les enseignants eux sont à leur poste. "Nous sommes prêts pour entamer la nouvelle année scolaire 2020-2021 puisque après la réunion de rentrée, les professeurs ont retiré leur emploi du temps sauf que les élèves traînent les pieds pour s'inscrire mais tout rentrera dans l'ordre dans les semaines à venir", a confié le censeur du Lycée moderne d'Alépé, Djè Bi Boli Augustin.
"L'inscription coûte chère, il y a l'inscription en ligne puis l'inscription physique et les fournitures. Donc, j'attends l'achat de mes produits agricoles pour inscrire mes trois enfants parce que je n'ai pas d'argent", a dit Yoman Simplice, un planteur du département rencontré dans la cour du Lycée.
(AIP)
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