Ouangolodougou- Le Chef de la délégation de la direction générale de l’Administration du Territoire (DGAT), Tano Sylvain a exhorté les populations de Ouangolodougou à collaborer avec les autorités sécuritaires aux frontières de la ville, afin de lutter contre la criminalité transfrontalière intégrant la traite des personnes et le trafic illicite des migrants.
M. Tano a lancé son appel, vendredi 15 janvier 2021, à l’occasion de la campagne de sensibilisation sur l’importance de la collecte de données aux postes de police frontière initiée par la (DGAT) en collaboration avec l’Organisation internationale pour les Migration (OIM).
Il a insisté sur la collaboration entre les autorités et les communautés locales afin de faire front commun sur défis de sécurité auxquels sont confrontés les Etats, relevant l’insuffisance des moyens de l’Etat et de la police de pouvoir tout faire sans l’aide des populations pour assurer la sécurité.
"Vous les populations, vous êtes dans les cours, dans les rues, dans les carrefours. Vous entendez des choses, vous voyez des choses, vous percevez des choses. Si vous ne rapportez pas ces informations à l’agent ou à l’autorité administrative qui peut exploiter ces informations, on va être surpris", a-t-il conclu.
( ck/tad/ask
M. Tano a lancé son appel, vendredi 15 janvier 2021, à l’occasion de la campagne de sensibilisation sur l’importance de la collecte de données aux postes de police frontière initiée par la (DGAT) en collaboration avec l’Organisation internationale pour les Migration (OIM).
Il a insisté sur la collaboration entre les autorités et les communautés locales afin de faire front commun sur défis de sécurité auxquels sont confrontés les Etats, relevant l’insuffisance des moyens de l’Etat et de la police de pouvoir tout faire sans l’aide des populations pour assurer la sécurité.
"Vous les populations, vous êtes dans les cours, dans les rues, dans les carrefours. Vous entendez des choses, vous voyez des choses, vous percevez des choses. Si vous ne rapportez pas ces informations à l’agent ou à l’autorité administrative qui peut exploiter ces informations, on va être surpris", a-t-il conclu.
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