Issia– Les communautés villageoises d’Issia ont exprimé leurs préoccupations face à la menace environnementale que représente la création d'une mine semi-industrielle de la columbite-tantalite dans le département.
Elles ont fait part de leurs inquiétudes au cours d'une enquête publique sur l'impact environnemental et social de ce projet, mardi 09 février 2021, à la salle de conférence de la préfecture d'Issia.
La société de recherche et d'exploitation minière Fantasy-ci projette de mettre en valeur le potentiel tantalifère de la Côte d’Ivoire. Une enquête publique sous l'égide de l'Agence nationale de l'environnement (ANDE) a été organisée afin d’échanger sur les préoccupations et avis des populations dans le cadre du projet d'exploitation semi-industrielle de columbite-tantalite à Békie dans la sous-préfecture d'Iboguhé à 30 km, à l'ouest d'Issia.
Il s'agit de l'exploitation d'une parcelle de 670 000m2 sur les terres villageoises. Selon les représentants de l’ANDE, les impacts négatifs majeurs du projet portent sur la morphologie et le paysage, sur la qualité de l'air, la pollution des sols, des eaux de surface et souterraines ainsi que sur la santé et la sécurité des populations.
Pour rassurer les populations, le directeur du cabinet d'étude, Kouadio Koffi Jean, a expliqué les mesures d'atténuation des impacts négatifs du projet.
bop/kkf/fmo
Elles ont fait part de leurs inquiétudes au cours d'une enquête publique sur l'impact environnemental et social de ce projet, mardi 09 février 2021, à la salle de conférence de la préfecture d'Issia.
La société de recherche et d'exploitation minière Fantasy-ci projette de mettre en valeur le potentiel tantalifère de la Côte d’Ivoire. Une enquête publique sous l'égide de l'Agence nationale de l'environnement (ANDE) a été organisée afin d’échanger sur les préoccupations et avis des populations dans le cadre du projet d'exploitation semi-industrielle de columbite-tantalite à Békie dans la sous-préfecture d'Iboguhé à 30 km, à l'ouest d'Issia.
Il s'agit de l'exploitation d'une parcelle de 670 000m2 sur les terres villageoises. Selon les représentants de l’ANDE, les impacts négatifs majeurs du projet portent sur la morphologie et le paysage, sur la qualité de l'air, la pollution des sols, des eaux de surface et souterraines ainsi que sur la santé et la sécurité des populations.
Pour rassurer les populations, le directeur du cabinet d'étude, Kouadio Koffi Jean, a expliqué les mesures d'atténuation des impacts négatifs du projet.
bop/kkf/fmo
