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Société Publié le dimanche 28 février 2021 | AIP

Bouaké abrite l’atelier bilan des réalisations du projet HortiNet-CI

Bouaké, Les partenaires et acteurs du projet HortiNet-CI ont pris part les 25 et 26 février 2021 à Bouaké à l’atelier-bilan de la mise en œuvre de ce projet dont l’objectif est de contribuer à l’amélioration de la production et de la qualité des productions maraîchères en Côte d’Ivoire par le développement des techniques agro-écologiques intensives plus durables et adaptées aux conditions du climat, des producteurs et consommateurs.

Il s’agissait pour eux de faire le point de réalisation de ce projet et de proposer quelques orientations en vue de contribuer à sa bonne mise en œuvre. Trois points essentiels ont marqué les travaux de cet atelier. A savoir, le bilan des réalisations du projet de 2018 à 2021, le point des activités des doctorants et l’examen de l’exécution du budget.

La trentaine de participants de cet atelier, composés de chercheurs du CNRA, d’enseignants -chercheurs des universités ivoiriennes, de partenaires scientifiques internationaux et de doctorants, ont lié théorie et pratique lors de cette réunion bilan. Outre les travaux en salle, ils ont effectué une sortie sur des parcelles expérimentales et sur une parcelle de vulgarisation des résultats du projet.

Au terme de ces deux jours d’activités intenses, ils ont conclu que des résultats importants et probants ont été obtenus par le projet. Cependant, vu la généralisation de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) pratiquement à tout le territoire national, l’atelier demande le soutien du gouvernement pour la diffusion des résultats aux producteurs.

Le projet Adaptation et développement de l’agriculture protégée aux conditions climatiques et parasitaires de la Côte d’Ivoire : cas de la tomate, dénommé HortiNet-CI, a démarré en 2018 suite à l’apparition d’un nouveau ravageur appelé la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) et à la résurgence de la mouche blanche (Bemisia tabaci) qui transmet de nombreuses maladies virales à la culture.

En 2016, des champs de tomate des producteurs de Djébonoua (au sud de Bouaké) avaient été détruites à 80 voire 100% par la Tuta absoluta. Une situation qui avait d’ailleurs alertée le gouvernement, rappelle-t-on.

(AIP)

rkk
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