Grand-Bassam- Le préfet de Grand-Bassam, Nassou Sidibé, a exhorté les syndicats à la patience, samedi 1er mai 2021, lors de la commémoration de la fête du travail.
"Toutes vos doléances seront transmises au gouvernement par nos soins. Mais sachez que beaucoup de nos maux sont dus à la pandémie de la covid 19. C'est pourquoi, je vous exhorte à la patience car le gouvernement a entrepris beaucoup de changements pour l'amélioration des conditions de vie des travailleurs. Bientôt, nous aurons les conclusions", a déclaré le préfet aux responsables syndicaux.
Les responsables des centrales syndicales ont évoqué, entres autres le problèmes, des enlèvements d'enfants qui perturbent les travailleurs, le manque de formation des vigiles, une sécurité privée mais importante en Côte d'Ivoire et le besoin d'un deuxième hôpital à Bonoua au regard de l'évolution de la population.
Ils ont également proposé la finalisation des statuts de la fonction publique et souhaité que soit rendue opérationnelle l'assurance maladie universelle.
Le débat sur la retraite n’a pas été occulté. Les syndicats ont dénoncé la cherté galopante des loyers à Grand-Bassam et partout en Côte d'Ivoire, la cherté des produits alimentaires et sanitaires, la fermeture de nombreuses entreprises sous prétexte de la covid ou pour motif économique.
La cérémonie de la fête du travail s’est voulue sobre pour raison de Covid-19 à Grand-Bassam comme partout en Côte d’Ivoire, note-on.
ko/akn/fmo
"Toutes vos doléances seront transmises au gouvernement par nos soins. Mais sachez que beaucoup de nos maux sont dus à la pandémie de la covid 19. C'est pourquoi, je vous exhorte à la patience car le gouvernement a entrepris beaucoup de changements pour l'amélioration des conditions de vie des travailleurs. Bientôt, nous aurons les conclusions", a déclaré le préfet aux responsables syndicaux.
Les responsables des centrales syndicales ont évoqué, entres autres le problèmes, des enlèvements d'enfants qui perturbent les travailleurs, le manque de formation des vigiles, une sécurité privée mais importante en Côte d'Ivoire et le besoin d'un deuxième hôpital à Bonoua au regard de l'évolution de la population.
Ils ont également proposé la finalisation des statuts de la fonction publique et souhaité que soit rendue opérationnelle l'assurance maladie universelle.
Le débat sur la retraite n’a pas été occulté. Les syndicats ont dénoncé la cherté galopante des loyers à Grand-Bassam et partout en Côte d'Ivoire, la cherté des produits alimentaires et sanitaires, la fermeture de nombreuses entreprises sous prétexte de la covid ou pour motif économique.
La cérémonie de la fête du travail s’est voulue sobre pour raison de Covid-19 à Grand-Bassam comme partout en Côte d’Ivoire, note-on.
ko/akn/fmo
