Bondoukou – La population de Kouassi N’Dawa, à 14 km de Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo), a été sensibilisée sur les effets néfastes de l’orpaillage clandestin, lors d’une rencontre d’échanges, samedi 10 juillet 2021 dans la localité, en présence de la chefferie traditionnelle locale.
Le président de la mutuelle de développement économique et social de Kouassi N’Dawa, Kossonou Atta Noël, a fait le constat de la présence d’orpailleurs clandestins dans la région avec la complicité de certains villageois et a demandé à la population à se mettre en règle vis-à-vis de l’Etat afin d’exercer ce métier en toute légalité.
Pour lui, l’orpaillage clandestin entraine la recrudescence du banditisme, de la prostitution et augmente l’insécurité dans la région. « Nous voulons mettre notre village à l’abri de l’influence de l’orpaillage clandestin », a-t-il fait savoir, se félicité de l’adhésion, à cette cause, de la population qui rejette en majorité la présence des orpailleurs clandestins.
Au début du mois de juillet, le Conseil national de la sécurité (CNS) avait autorisé la création d’un Groupement spécial de répression de l’orpaillage illégal. Ce groupement, composé de 560 éléments dont 460 gendarmes et 100 agents des Eaux et Forêts, spécialement équipés pour intervenir sur l’ensemble du territoire, viendra intensifier la répression des infractions au code minier.
(AIP)
zaar/fmo
Le président de la mutuelle de développement économique et social de Kouassi N’Dawa, Kossonou Atta Noël, a fait le constat de la présence d’orpailleurs clandestins dans la région avec la complicité de certains villageois et a demandé à la population à se mettre en règle vis-à-vis de l’Etat afin d’exercer ce métier en toute légalité.
Pour lui, l’orpaillage clandestin entraine la recrudescence du banditisme, de la prostitution et augmente l’insécurité dans la région. « Nous voulons mettre notre village à l’abri de l’influence de l’orpaillage clandestin », a-t-il fait savoir, se félicité de l’adhésion, à cette cause, de la population qui rejette en majorité la présence des orpailleurs clandestins.
Au début du mois de juillet, le Conseil national de la sécurité (CNS) avait autorisé la création d’un Groupement spécial de répression de l’orpaillage illégal. Ce groupement, composé de 560 éléments dont 460 gendarmes et 100 agents des Eaux et Forêts, spécialement équipés pour intervenir sur l’ensemble du territoire, viendra intensifier la répression des infractions au code minier.
(AIP)
zaar/fmo