Le sergent de police stagiaire Kpéné Yoh Michel a été abattu, le samedi 3 janvier dernier, par des braqueurs à Marcory alors qu’il conduisait un voleur au commissariat de police du 9ème arrondissement en compagnie de son frère d’arme, le sergent de police Sikely Jean Bedos. Dans un communiqué de presse de la direction générale de la police dont nous avons reçu copie hier, la victime qui était en service au barrage de l’office ivoirien des chargeurs (OIC), à Marcory a été la cible de quatre malfaiteurs armés de pistolets en train de braquer un ressortissant libanais au niveau de la pharmacie de l’amitié. C’est à la vue des policiers que l’un des bandits a ouvert le feu en leur direction blessant mortellement, le sergent de police stagiaire Kpéné Yoh Michel. Mais bien que blessé, celui-ci a réussi à abattre le bandit qui n’a pu être identifié. Fouillé à corps, le malfaiteur a été trouvé en possession de 2 pistolets automatiques de marque MAB P. 15. les investigations menées dans le quartier en vue de retrouver ses acolytes ont abouti à la découverte d’un sac contenant un pistolet automatique de marque MAB P.15 et un chargeur garni de 23 munition de Kalachnikov. Pour le directeur général de la police nationale, le sergent de police stagiaire Kpéné Yoh Michel qui a payé de sa vie pour la protection des personnes et des biens, est un exemple de courage et de bravoure à saluer.
Tout en demandant à la population de dénoncer toute personne dont les agissements sont suspects, le patron de la police nationale a indiqué que la police n’est l’ennemie de personne. Mieux, elle œuvre au quotidien pour faire baisser le sentiment d’insécurité en faisant dans le meilleur des cas, son travail. “Elle mérite par conséquent de la part de la population, respect, considération et assistance.” a conclu le commissaire divisionnaire-major Brédou M’Bia, directeur général de la police nationale.
D. Kéï
Tout en demandant à la population de dénoncer toute personne dont les agissements sont suspects, le patron de la police nationale a indiqué que la police n’est l’ennemie de personne. Mieux, elle œuvre au quotidien pour faire baisser le sentiment d’insécurité en faisant dans le meilleur des cas, son travail. “Elle mérite par conséquent de la part de la population, respect, considération et assistance.” a conclu le commissaire divisionnaire-major Brédou M’Bia, directeur général de la police nationale.
D. Kéï