Alors que la concurrence s'installe sérieusement en attaque du côté de l'OM après les arrivées de Brandao et Wiltord, Bakari Koné garde la tête froide et voit la concurrence d'un bon œil. Et ce ne sont pas les petits doutes émis par Robert Louis-Dreyfus qui vont le contrarier.
L'arrivée de nouveaux joueurs à caractère offensif (Brandao, Wiltord) provoque-t-elle une émulation ?
Ça nous fait beaucoup de bien oui. Avec les blessures qu'on a eues, c'est sûr qu'il fallait apporter un plus quelque part et on a toujours besoin de concurrence pour avancer. Il y a beaucoup plus d'engagements dans les entraînements.
Que pensez-vous de Wiltord et Brandao ?
Wiltord et Brandao sont des joueurs de qualité, leur présence va beaucoup nous servir pour l'avenir. Ils ont beaucoup d'expérience et ils s'adaptent assez facilement. Wiltord va nous apporter par sa touche technique, sa vision du jeu sur le terrain. Pareil pour Brandao. Techniquement, il est doué. Il a aussi une grande taille. C'est un joueur d'appui, on en avait vraiment besoin parce que depuis la blessure de Mamadou (Niang), Samassa était tout seul.
Troisième au classement, selon vous l'OM garde-t-il ses chances pour atteindre ses objectifs ?
C'est certain. On a même toutes les chances de pouvoir gagner le titre. On est à quatre points du premier et on ne va rien lâcher. Jusqu'à la fin on va se donner tous les moyens pour pouvoir y arriver. C'est la dernière ligne droite et tous les matchs sont importants surtout lorsqu'on va jouer contre ceux qui sont devant nous, c'est-à-dire Bordeaux et Lyon. Il y a Rennes aussi qui est un bon client, mais nous, on ne va rien lâcher.
« Lyon ou Concarneau, peu importe »
A quelques jours du match des 16emes de finale, vous ne connaissez toujours pas le nom de votre futur adversaire en Coupe de France (Ndlr : Concarneau ou Lyon). Comment vous préparez-vous ?
On se prépare comme d'habitude. Qu'on joue contre Lyon ou Concarneau, peut importe. C'est sûr qu'il y une différence mais bon. Nous, on se prépare comme il le faut.
Que pensez-vous des propos de Robert Louis-Dreyfus qui a dit qu'il attendait beaucoup de vous en cette fin de saison ?
On m'a dit ce qu'il avait dit parce que je ne lis pas la presse. C'est ma façon de vivre. Mais même moi, j'attends beaucoup de moi.
Vos douleurs au genou ont-elles totalement disparu ?
Pour le moment, oui, ça va. Je n'ai plus de douleur.
Christian Rodat à Marseille
L'arrivée de nouveaux joueurs à caractère offensif (Brandao, Wiltord) provoque-t-elle une émulation ?
Ça nous fait beaucoup de bien oui. Avec les blessures qu'on a eues, c'est sûr qu'il fallait apporter un plus quelque part et on a toujours besoin de concurrence pour avancer. Il y a beaucoup plus d'engagements dans les entraînements.
Que pensez-vous de Wiltord et Brandao ?
Wiltord et Brandao sont des joueurs de qualité, leur présence va beaucoup nous servir pour l'avenir. Ils ont beaucoup d'expérience et ils s'adaptent assez facilement. Wiltord va nous apporter par sa touche technique, sa vision du jeu sur le terrain. Pareil pour Brandao. Techniquement, il est doué. Il a aussi une grande taille. C'est un joueur d'appui, on en avait vraiment besoin parce que depuis la blessure de Mamadou (Niang), Samassa était tout seul.
Troisième au classement, selon vous l'OM garde-t-il ses chances pour atteindre ses objectifs ?
C'est certain. On a même toutes les chances de pouvoir gagner le titre. On est à quatre points du premier et on ne va rien lâcher. Jusqu'à la fin on va se donner tous les moyens pour pouvoir y arriver. C'est la dernière ligne droite et tous les matchs sont importants surtout lorsqu'on va jouer contre ceux qui sont devant nous, c'est-à-dire Bordeaux et Lyon. Il y a Rennes aussi qui est un bon client, mais nous, on ne va rien lâcher.
« Lyon ou Concarneau, peu importe »
A quelques jours du match des 16emes de finale, vous ne connaissez toujours pas le nom de votre futur adversaire en Coupe de France (Ndlr : Concarneau ou Lyon). Comment vous préparez-vous ?
On se prépare comme d'habitude. Qu'on joue contre Lyon ou Concarneau, peut importe. C'est sûr qu'il y une différence mais bon. Nous, on se prépare comme il le faut.
Que pensez-vous des propos de Robert Louis-Dreyfus qui a dit qu'il attendait beaucoup de vous en cette fin de saison ?
On m'a dit ce qu'il avait dit parce que je ne lis pas la presse. C'est ma façon de vivre. Mais même moi, j'attends beaucoup de moi.
Vos douleurs au genou ont-elles totalement disparu ?
Pour le moment, oui, ça va. Je n'ai plus de douleur.
Christian Rodat à Marseille