Il n’y a plus de chance pour les fils à papa et les paresseux à l’Ena. Le contrôle est tel que ces derniers n’ont plus de recours pour entrer dans cette prestigieuse école de l’administration ivoirienne. Le frère d’un député qui est confronté à ce strict contrôle se plaint depuis quelques jours de la rigueur du directeur général.
Coulisses Publié le mercredi 1 avril 2009 | L’intelligent d’Abidjan