Les infirmiers sont actuellement sur le pied de guerre. A l’origine, de leur mécontentement, la non obtention de la réintégration des enseignants de l’Infas radiés par la direction de l’école et le statut de grande école pour l’Infas à l’échéance prévue dans un protocole d’accord signé avec le ministre Allah Kouadio. A l’expiration du délai prévu (au plus tard le 30 mars), ces doléances n’ont pas été satisfaites. Les infirmiers décident aujourd’hui de la conduite à tenir.
Coulisses Publié le samedi 18 avril 2009 | L’intelligent d’Abidjan