Les membres du Collectif des victimes de la force Licorne ne sont pas en odeur de sainteté avec leur avocat, Me Hamza Attéa. Ces derniers dénoncent son incapacité à faire aboutir leurs dossiers d’indemnisation dans l’affaire qui les oppose aux soldats français, lors des événements de l’hôtel Ivoire, en novembre 2004.
Coulisses Publié le jeudi 23 avril 2009 | L’intelligent d’Abidjan