Tous les journalistes qui solliciteront la Première Dame pour se prononcer sur son audition dans l’affaire Kieffer n’auront pas de suite favorable. Ses avocats et sa cellule de communication ont décidé qu’elle ne parle pas du tout de cette affaire pour ne pas donner libre cours à des commentaires tendancieux de ses détracteurs.
Coulisses Publié le lundi 4 mai 2009 | L’intelligent d’Abidjan