SEM. Luciano Barillaro, ambassadeur d’Italie en Côte d’Ivoire, a été reçu par le chef du Gouvernement, le vendredi 8 mai 2009. Au nom de l’Union européenne (UE) dont l’Italie assure temporairement la présidence, M. Barillaro est venu s’informer sur la situation socio-politique et la tenue effective des élections.
A l’issue de cette audience, SEM. Luciano Barillaro a fait savoir qu’il est ressorti de cet entretien confiant et convaincu que les élections auront lieu. « C’était une rencontre importante sur la sortie de crise. Je crois avoir compris que dans les prochains jours, le président de la République, le Premier ministre et la Commission Electorale Indépendante (CEI) vont annoncer la date des élections présidentielles. Nous avons échangé sur tout le travail effectué, sur les choses qui restent à accomplir, mais qui ne devraient pas changer le programme, sur les échéances, etc. Nous avons passé en revue toute la situation de la sortie de crise ».
Déploiement des brigades mixtes CCI et enrôlement
« Le Premier m’a dit que finalement, la presse a mal relatée ce qui s’est passé sur le terrain. Un certains nombre de policiers et de militaires des Forces Nouvelles ont été déployés sur le terrain, conformément aux attentes. Donc, il n’y a pas de préoccupations. C’est pareil concernant l’enrôlement et les quelques centres qui n’ont pas encore fonctionné. Il y a quelques problèmes dus à la logistique, mais tout se fera au plus vite. En tout cas, ces problèmes ne gênent pas l’essence du problème. Nous allons avancer. Ce sont de petites choses qui vont être réglées d’ici quelques jours, mais qui ne gênent en rien le programme. J’ai un sentiment très positif ».
Publication prochaine d’un calendrier électoral
« Quand on annonce une réunion du Cadre Permanent Concertation (CPC) à un moment comme celui-ci, après tout ce qu’on a traversé, deux ans après l’Accord Politique de Ouagadougou (APO), je pense que c’est pour donner une date des élections. Je pense que cela va se faire dans les prochains jours. Il ya effectivement de petites choses à régler. Mais l’impression que j’ai, est très positive. Il n’y a pas vraiment de problèmes politiques. Tout a changé. Il ya deux jours, on pouvait avoir des doutes, mais ces questions n’appartiennent pas aux politiques, aux autorités. Ce sont des questions qui touchent vraiment à la capacité de la CEI à faire le nécessaire pour que les élections se tiennent selon le chronogramme qui va être établir. C’est un problème technique, de professionnalisme, des opérateurs sur le terrain, des organisateurs des élections, de réglages. Je crois que si on commence à déployer les brigades mixtes et si on est arrivé à 11 000 centres d’enrôlement sur les 11200 à l’origine, c’est que les choses avancent ».
« Il y a une semaine, on pouvait être inquiet, mais aujourd’hui il y va de la crédibilité de tout le monde, de toutes les forces politiques. Je ne pense pas qu’on puisse jouer avec cela. Bien sûr, il y avait des problèmes financiers, mais le Fonds Monétaire International (FMI), la Banque mondiale, la Banque Africaine de Développement (BAD) ont déboursé des fonds importants avec lesquels ont peut régler la question financière. Du point de vue logistique, 95% du travail qui devait être réalisé a été fait. Sur le plan militaire, le nécessaire est en train d’être fait. J’ai échangé avec M. Ouattara hier (jeudi), j’ai échangé avec le président Laurent Gbagbo. Je viens de discuter avec le Premier ministre. Je pense que personne ne peut raisonnablement avoir des doutes sur les bonnes intentions des uns et des autres ».
A l’issue de cette audience, SEM. Luciano Barillaro a fait savoir qu’il est ressorti de cet entretien confiant et convaincu que les élections auront lieu. « C’était une rencontre importante sur la sortie de crise. Je crois avoir compris que dans les prochains jours, le président de la République, le Premier ministre et la Commission Electorale Indépendante (CEI) vont annoncer la date des élections présidentielles. Nous avons échangé sur tout le travail effectué, sur les choses qui restent à accomplir, mais qui ne devraient pas changer le programme, sur les échéances, etc. Nous avons passé en revue toute la situation de la sortie de crise ».
Déploiement des brigades mixtes CCI et enrôlement
« Le Premier m’a dit que finalement, la presse a mal relatée ce qui s’est passé sur le terrain. Un certains nombre de policiers et de militaires des Forces Nouvelles ont été déployés sur le terrain, conformément aux attentes. Donc, il n’y a pas de préoccupations. C’est pareil concernant l’enrôlement et les quelques centres qui n’ont pas encore fonctionné. Il y a quelques problèmes dus à la logistique, mais tout se fera au plus vite. En tout cas, ces problèmes ne gênent pas l’essence du problème. Nous allons avancer. Ce sont de petites choses qui vont être réglées d’ici quelques jours, mais qui ne gênent en rien le programme. J’ai un sentiment très positif ».
Publication prochaine d’un calendrier électoral
« Quand on annonce une réunion du Cadre Permanent Concertation (CPC) à un moment comme celui-ci, après tout ce qu’on a traversé, deux ans après l’Accord Politique de Ouagadougou (APO), je pense que c’est pour donner une date des élections. Je pense que cela va se faire dans les prochains jours. Il ya effectivement de petites choses à régler. Mais l’impression que j’ai, est très positive. Il n’y a pas vraiment de problèmes politiques. Tout a changé. Il ya deux jours, on pouvait avoir des doutes, mais ces questions n’appartiennent pas aux politiques, aux autorités. Ce sont des questions qui touchent vraiment à la capacité de la CEI à faire le nécessaire pour que les élections se tiennent selon le chronogramme qui va être établir. C’est un problème technique, de professionnalisme, des opérateurs sur le terrain, des organisateurs des élections, de réglages. Je crois que si on commence à déployer les brigades mixtes et si on est arrivé à 11 000 centres d’enrôlement sur les 11200 à l’origine, c’est que les choses avancent ».
« Il y a une semaine, on pouvait être inquiet, mais aujourd’hui il y va de la crédibilité de tout le monde, de toutes les forces politiques. Je ne pense pas qu’on puisse jouer avec cela. Bien sûr, il y avait des problèmes financiers, mais le Fonds Monétaire International (FMI), la Banque mondiale, la Banque Africaine de Développement (BAD) ont déboursé des fonds importants avec lesquels ont peut régler la question financière. Du point de vue logistique, 95% du travail qui devait être réalisé a été fait. Sur le plan militaire, le nécessaire est en train d’être fait. J’ai échangé avec M. Ouattara hier (jeudi), j’ai échangé avec le président Laurent Gbagbo. Je viens de discuter avec le Premier ministre. Je pense que personne ne peut raisonnablement avoir des doutes sur les bonnes intentions des uns et des autres ».