Le nouvel entraîneur de l'AS Denguélé explique comment il a réussi à redonner des couleurs aux Violet et Blanc après une entame poussive.
•Le constat est encourageant. Depuis votre nomination, l'AS Denguélé ne perd plus. Quelle est votre recette?
C'est le travail et la concentration qui nous permettent de réaliser ces bons résultats. La bonne ambiance qui règne aussi désormais dans le groupe nous fait beaucoup de bien. Le président joue son rôle, les joueurs aussi.
•Qu'est-ce qui a fondamentalement changé depuis votre nomination comme coach principal ?
Je tiens un discours simple à mes joueurs. Je leur dis de ne pas se focaliser sur le Championnat de Côte d'Ivoire mais de voir loin. C'est une façon de leur dire que pour devenir professionnels un jour, ils devront bosser dur.
•Quel est l'objectif qui vous a été assigné par votre président ?
Le maintien.
•Que répondez-vous à ceux qui disent que vos joueurs sont devenus plus agressifs sur le terrain, comme vous l'étiez il y a quelques années ?
(Rires) Le football moderne demande ça. Le football est un jeu de garçons et il faut être toujours présent dans les duels. A travers mes entraîneurs comme Valère Billen ou Franco Cuccinotta, j'ai beaucoup appris aussi.
•Peut-on dire que c'est une carrière d'entraîneur qui voit ainsi le jour pour vous ?
Pour le moment, je ne peux rien dire. Avec le temps, vous saurez si je suis en train de devenir entraîneur. C'est Dieu qui décécide.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
•Le constat est encourageant. Depuis votre nomination, l'AS Denguélé ne perd plus. Quelle est votre recette?
C'est le travail et la concentration qui nous permettent de réaliser ces bons résultats. La bonne ambiance qui règne aussi désormais dans le groupe nous fait beaucoup de bien. Le président joue son rôle, les joueurs aussi.
•Qu'est-ce qui a fondamentalement changé depuis votre nomination comme coach principal ?
Je tiens un discours simple à mes joueurs. Je leur dis de ne pas se focaliser sur le Championnat de Côte d'Ivoire mais de voir loin. C'est une façon de leur dire que pour devenir professionnels un jour, ils devront bosser dur.
•Quel est l'objectif qui vous a été assigné par votre président ?
Le maintien.
•Que répondez-vous à ceux qui disent que vos joueurs sont devenus plus agressifs sur le terrain, comme vous l'étiez il y a quelques années ?
(Rires) Le football moderne demande ça. Le football est un jeu de garçons et il faut être toujours présent dans les duels. A travers mes entraîneurs comme Valère Billen ou Franco Cuccinotta, j'ai beaucoup appris aussi.
•Peut-on dire que c'est une carrière d'entraîneur qui voit ainsi le jour pour vous ?
Pour le moment, je ne peux rien dire. Avec le temps, vous saurez si je suis en train de devenir entraîneur. C'est Dieu qui décécide.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo