Le président de l’Asso-ciation citoyenne pour Gbagbo (ACG), Elie Hallassou, a annoncé, lors d’une conférence de presse qu’il a animée hier à la salle Esterly, à Cocody Saint Jean, que le dossier disparu au tribunal du travail d’Abidjan le 30 juin dernier a été reconstitué entièrement lors d’un débat contradictoire qui l’opposait à la SATOCI. Cela à la demande de ce même tribunal. La décision du tribunal est prévue le 28 mai prochain. Selon lui, les échanges se sont déroulés au bureau du juge Yavo, en charge de cette affaire, et ont porté sur 3 points essentiels dont notamment la nature de la responsabilité d’Elie Hallassou dans l’entreprise. La question était de savoir, selon ce magistrat, s’il occupait le poste de commercial ou de cadre commercial. Selon ses dires, il était un cadre commercial, puisqu’il touchait plus de 3 millions FCFA, au lieu de 300.000FCFA que verse la société aux commerciaux. En plus, a-t-il poursuivi, il a en sa possession, un document où sont inscrits les prix de revient et les taux de réduction des produits commercialisés. «Chose que les commerciaux n’ont pas», a-t-il ajouté.
En ce qui concerne la cause de la rupture du contrat de travail, il a indiqué que la SATOCI a mentionné l’abandon du travail pour refus d’aller au Togo afin d’occuper un nouveau poste. Ce qu’il a qualifié de licenciement abusif ou politique. Parce que selon lui, il n’a pas été absent, et toutes ses activités politiques ont eu lieu les jours non ouvrables. Il a insisté sur le fait que la conclusion du juge Yavo est que la société en question l’a contraint à signer le solde de tout compte, qui met fin à son contrat de travail.
Aussi, a-t-il insisté sur le fait que la présidente Yavo a mentionné que l’emploi au noir est établi car, la SATOCI ne lui a pas établi de bulletin de salaire pour, et qu’il n’était pas déclaré à la CNPS.
Il a lancé un appel à l’opinion nationale et au président de la République, pour que le droit soit dit lors de la délibération qui selon lui, mettra fin à cette injustice.
Sonia Dia (Stagiaire)
En ce qui concerne la cause de la rupture du contrat de travail, il a indiqué que la SATOCI a mentionné l’abandon du travail pour refus d’aller au Togo afin d’occuper un nouveau poste. Ce qu’il a qualifié de licenciement abusif ou politique. Parce que selon lui, il n’a pas été absent, et toutes ses activités politiques ont eu lieu les jours non ouvrables. Il a insisté sur le fait que la conclusion du juge Yavo est que la société en question l’a contraint à signer le solde de tout compte, qui met fin à son contrat de travail.
Aussi, a-t-il insisté sur le fait que la présidente Yavo a mentionné que l’emploi au noir est établi car, la SATOCI ne lui a pas établi de bulletin de salaire pour, et qu’il n’était pas déclaré à la CNPS.
Il a lancé un appel à l’opinion nationale et au président de la République, pour que le droit soit dit lors de la délibération qui selon lui, mettra fin à cette injustice.
Sonia Dia (Stagiaire)