Les éléphants s’imposent au Syli national et reprennent les commandes du groupe E.
Grâce à deux coups de patte rageurs de Koné Baky et de N’Dri Romaric, les Eléphants de Côte d’Ivoire ont brisé le rêve du Syli national (2-1) hier, dans un stade du 28 septembre plein comme un œuf. Le seul but inscrit par Bangoura Sambegou n’a pas suffi pour changer le cours du destin.
Habitués aux grandes joutes, les poulains de Vahid Halilhodzic n’ont pas du tout tremblé. Ils ont intelligemment géré la partie avec un milieu de terrain de qualité et mature. Yaya, Zokora, Romaric et Kalou ont été solidaires et imaginatifs. En défense également, Eboué, Tiéné, Guy Demel et Kolo Habib, en dépit de quelques ratés, assuraient bien la garde devant Copa Barry. Qui a, du reste, fait un grand match.
En attaque, le jeu en mouvement, sans ballon de Didier Drogba, le culot et la vitesse phénoménale de Baky, ont perturbé le bastion défensif guinéen. Avec un peu plus de concentration, Baky, Salomon Kalou et Drogba auraient pu alourdir le score.
En face, la Guinée, avec Feindounou et Ismaël Bangoura sans oublier Alhassane Bangoura, a tout essayé. En vain. La tenaille adverse était là.
Et c’est avec beaucoup d’amertume qu’ils ont rendu les armes sur leurs propres installations. L’entraîneur français, Robert Nouzaret, est sur la braise et pourrait être remercié dans les jours à venir.
J-B Béhi
Envoyé spécial à Conakry
Grâce à deux coups de patte rageurs de Koné Baky et de N’Dri Romaric, les Eléphants de Côte d’Ivoire ont brisé le rêve du Syli national (2-1) hier, dans un stade du 28 septembre plein comme un œuf. Le seul but inscrit par Bangoura Sambegou n’a pas suffi pour changer le cours du destin.
Habitués aux grandes joutes, les poulains de Vahid Halilhodzic n’ont pas du tout tremblé. Ils ont intelligemment géré la partie avec un milieu de terrain de qualité et mature. Yaya, Zokora, Romaric et Kalou ont été solidaires et imaginatifs. En défense également, Eboué, Tiéné, Guy Demel et Kolo Habib, en dépit de quelques ratés, assuraient bien la garde devant Copa Barry. Qui a, du reste, fait un grand match.
En attaque, le jeu en mouvement, sans ballon de Didier Drogba, le culot et la vitesse phénoménale de Baky, ont perturbé le bastion défensif guinéen. Avec un peu plus de concentration, Baky, Salomon Kalou et Drogba auraient pu alourdir le score.
En face, la Guinée, avec Feindounou et Ismaël Bangoura sans oublier Alhassane Bangoura, a tout essayé. En vain. La tenaille adverse était là.
Et c’est avec beaucoup d’amertume qu’ils ont rendu les armes sur leurs propres installations. L’entraîneur français, Robert Nouzaret, est sur la braise et pourrait être remercié dans les jours à venir.
J-B Béhi
Envoyé spécial à Conakry