Le Premier ministre Guillaume Soro a pris la parole au meeting de clôture de la visite d’Etat du Président de la République dans la région des Montagnes en sa qualité de président du comité d’organisation. Il a mis cette occasion à profit pour prendre résolument l’engagement de s’inscrire dans le pardon, la réconciliation et la paix totale.
«La région de l’Ouest a vécu la guerre de manière particulièrement difficile. Cette guerre a failli s’étendre à partir de cette partie du pays sur toute la sous-région. En ce sens que des combattants étrangers se sont introduits dans notre pays. Je voudrais vraiment le confesser. Mais, comme l’a dit le président du conseil général de Man, il ne faut pas pleurnicher sur notre sort et, comme vous-même, vous avez dit à Biankouma que la guerre est derrière nous, je voudrais sincèrement et résolument m’inscrire dans cette voie. Je voudrais dire, à mon tour, aux ivoiriens d’oublier la guerre et de vivre la paix, gage de notre avenir», a dit le Premier ministre.
Pour Soro, les ivoiriens ont, aujourd’hui, tendance à mettre toutes les mésaventures sur la compte de la guerre. «Si un élève échoue à un examen, il dit : “c’est la guerre”, s’indigne le chef du gouvernement. Pour lui, la guerre ne peut pas tout expliquer.
Le premier ministre demande, en outre, aux ivoiriens d’avoir les yeux rivés sur l’avenir après l’accord politique de Ouagadougou. «Après la signature de cet accord, beaucoup ne lui donnaient pas trois mois. Non seulement il tient depuis deux ans, mais toutes les attentes ont été comblées», selon le premier ministre. C’est pourquoi il a tenu à remercier le Président Gbagbo pour «l’initiative du dialogue direct, et aussi pour avoir signé l’accord politique de Ouagadougou».
Le Premier ministre a, par ailleurs, expliqué ce qui a motivé l’organisation des visites d’Etat. «En décidant ces visites d’Etat, notre objectif était de redonner espoir aux ivoiriens. Après la signature de l’accord politique de Ouagadougou, il était important de donner espoir à notre peuple en lui disant tous les deux que la guerre est finie. ce sont donc des tournées de pacification et d’apaisement», a indiqué Guillaume Soro.
Mais, avant, le Premier ministre, en sa qualité de président du comité d’organisation, a tenu à remercier tous les membres de ce comité et tous ceux qui ont contribué à la réalisation de cette visite d’Etat.
B.S.
«La région de l’Ouest a vécu la guerre de manière particulièrement difficile. Cette guerre a failli s’étendre à partir de cette partie du pays sur toute la sous-région. En ce sens que des combattants étrangers se sont introduits dans notre pays. Je voudrais vraiment le confesser. Mais, comme l’a dit le président du conseil général de Man, il ne faut pas pleurnicher sur notre sort et, comme vous-même, vous avez dit à Biankouma que la guerre est derrière nous, je voudrais sincèrement et résolument m’inscrire dans cette voie. Je voudrais dire, à mon tour, aux ivoiriens d’oublier la guerre et de vivre la paix, gage de notre avenir», a dit le Premier ministre.
Pour Soro, les ivoiriens ont, aujourd’hui, tendance à mettre toutes les mésaventures sur la compte de la guerre. «Si un élève échoue à un examen, il dit : “c’est la guerre”, s’indigne le chef du gouvernement. Pour lui, la guerre ne peut pas tout expliquer.
Le premier ministre demande, en outre, aux ivoiriens d’avoir les yeux rivés sur l’avenir après l’accord politique de Ouagadougou. «Après la signature de cet accord, beaucoup ne lui donnaient pas trois mois. Non seulement il tient depuis deux ans, mais toutes les attentes ont été comblées», selon le premier ministre. C’est pourquoi il a tenu à remercier le Président Gbagbo pour «l’initiative du dialogue direct, et aussi pour avoir signé l’accord politique de Ouagadougou».
Le Premier ministre a, par ailleurs, expliqué ce qui a motivé l’organisation des visites d’Etat. «En décidant ces visites d’Etat, notre objectif était de redonner espoir aux ivoiriens. Après la signature de l’accord politique de Ouagadougou, il était important de donner espoir à notre peuple en lui disant tous les deux que la guerre est finie. ce sont donc des tournées de pacification et d’apaisement», a indiqué Guillaume Soro.
Mais, avant, le Premier ministre, en sa qualité de président du comité d’organisation, a tenu à remercier tous les membres de ce comité et tous ceux qui ont contribué à la réalisation de cette visite d’Etat.
B.S.