SEM. André Janier, ambassadeur de France en Côte d’Ivoire est venu faire ses adieux au Premier ministre Guillaume Soro et aux Ivoiriens, le vendredi 13 juin 2009, quelques jours avant son départ définitif de la Côte d’Ivoire. Il en a profité pour annoncer la venue de son successeur dans 10 jours. Il s’agit de SEM. Jean-Marc Simon, ancien ambassadeur de France au Gabon.
A l’issue de la rencontre, SEM. André Janier a fait la déclaration suivante : « J’ai déjà rencontré Monsieur le Premier ministre la semaine dernière. Nous avons discuté pendant une heure. Aujourd’hui, l’objet officiel de ma visite, c’était de dire au revoir à Monsieur le Premier ministre. Comme vous le savez, sans doute, ma mission prend fin après-demain ici. Je quitte définitivement la Côte d’Ivoire après quatre années passées au milieu de vous, au milieu des Ivoiriens. Je ne pouvais pas quitter la Côte d’Ivoire et les Ivoiriens sans passer voir le chef du Gouvernement, le remercier pour sa disponibilité pendant tout le temps que j’ai passé en Côte d’Ivoire ; je l’ai fréquenté régulièrement pendant les quatre années de ma présence ici ; Au début, il était le Secrétaire général des Forces nouvelles et je lui ai rendu plusieurs fois visite à Bouaké. Depuis qu’il est Premier ministre, je l’ai rencontré régulièrement pour faire le point avec lui de la situation en Côte d’Ivoire, recueillir son avis. C’est très important pour nous ; et parler de la coopération entre la Côte d’Ivoire et la France ».
LES SENTIMENTS QUI L’ANIMENT A LA VEILLE DE SON DEPART
« Deux sentiments qui se bousculent. La tristesse : il y a un proverbe français qui dit, partir, c’est mourir un peu. Je laisse une partie de ma vie en Côte d’Ivoire. Mais se sentiment est largement contrebalancé par l’espoir, parce que je pars convaincu que les Ivoiriens ont parcouru la plus grande partie du chemin. Qu’ils sont sur la bonne voie. Qu’ils sont proches de la sortie de crise ; c’est en tout cas ce que je dirai en rentrant à mes autorités à Paris. Il faut, plus que jamais, faire confiance aux Ivoiriens. Ils ont pris en main eux-mêmes, le processus de sortie de crise ici. Je n’ai pas doute qu’ils parviendront très rapidement. C’est-à-dire, si j’ai bien compris, avant la fin de cette année à régler leurs problèmes et à se rassembler à nouveau tous ensemble pour reconstruire le pays et redonner la priorité à son développement économique et social ».
LE SUCCESSEUR ARRIVE DANS 10 JOURS
« En tant qu’ambassadeur sûrement pas. En tant que personne privée, je laisse beaucoup d’amis ici ; je le dis, pas pour vous faire plaisir, j’ai adoré votre pays, la Côte d’Ivoire et les Ivoiriens. Mon épouse aussi. Nous avons très envie de revenir. Nos amis Ivoiriens nous disent, il faut revenir. Mais dans un premier temps, je ne reviendrai pas pour ne pas gêner mon successeur. Il arrive dans 10 jours exactement, je crois. Je le laisserai prendre ses marques, faire son trou ici et peut-être plus tard. Il s’appelle Jean-Marc Simon. Il était ambassadeur au Gabon ».
A l’issue de la rencontre, SEM. André Janier a fait la déclaration suivante : « J’ai déjà rencontré Monsieur le Premier ministre la semaine dernière. Nous avons discuté pendant une heure. Aujourd’hui, l’objet officiel de ma visite, c’était de dire au revoir à Monsieur le Premier ministre. Comme vous le savez, sans doute, ma mission prend fin après-demain ici. Je quitte définitivement la Côte d’Ivoire après quatre années passées au milieu de vous, au milieu des Ivoiriens. Je ne pouvais pas quitter la Côte d’Ivoire et les Ivoiriens sans passer voir le chef du Gouvernement, le remercier pour sa disponibilité pendant tout le temps que j’ai passé en Côte d’Ivoire ; je l’ai fréquenté régulièrement pendant les quatre années de ma présence ici ; Au début, il était le Secrétaire général des Forces nouvelles et je lui ai rendu plusieurs fois visite à Bouaké. Depuis qu’il est Premier ministre, je l’ai rencontré régulièrement pour faire le point avec lui de la situation en Côte d’Ivoire, recueillir son avis. C’est très important pour nous ; et parler de la coopération entre la Côte d’Ivoire et la France ».
LES SENTIMENTS QUI L’ANIMENT A LA VEILLE DE SON DEPART
« Deux sentiments qui se bousculent. La tristesse : il y a un proverbe français qui dit, partir, c’est mourir un peu. Je laisse une partie de ma vie en Côte d’Ivoire. Mais se sentiment est largement contrebalancé par l’espoir, parce que je pars convaincu que les Ivoiriens ont parcouru la plus grande partie du chemin. Qu’ils sont sur la bonne voie. Qu’ils sont proches de la sortie de crise ; c’est en tout cas ce que je dirai en rentrant à mes autorités à Paris. Il faut, plus que jamais, faire confiance aux Ivoiriens. Ils ont pris en main eux-mêmes, le processus de sortie de crise ici. Je n’ai pas doute qu’ils parviendront très rapidement. C’est-à-dire, si j’ai bien compris, avant la fin de cette année à régler leurs problèmes et à se rassembler à nouveau tous ensemble pour reconstruire le pays et redonner la priorité à son développement économique et social ».
LE SUCCESSEUR ARRIVE DANS 10 JOURS
« En tant qu’ambassadeur sûrement pas. En tant que personne privée, je laisse beaucoup d’amis ici ; je le dis, pas pour vous faire plaisir, j’ai adoré votre pays, la Côte d’Ivoire et les Ivoiriens. Mon épouse aussi. Nous avons très envie de revenir. Nos amis Ivoiriens nous disent, il faut revenir. Mais dans un premier temps, je ne reviendrai pas pour ne pas gêner mon successeur. Il arrive dans 10 jours exactement, je crois. Je le laisserai prendre ses marques, faire son trou ici et peut-être plus tard. Il s’appelle Jean-Marc Simon. Il était ambassadeur au Gabon ».