L'attaquant niçois a les fourmis dans les jambes et promet sa rentrée avec les Etalons le 5 septembre à Abidjan face aux Eléphants. Dans cet entretien, Habib Bamogo explique aussi les raisons de son absence samedi au Stade du 4 août.
• Etes-vous à votre premier séjour en terre burkinabé?
(Rires) Non. Je viens à Ouaga chaque mois de juin. Lorsque je suis en vacances, sportivement parlant, je viens passer quelques jours ici. En deux semaines, je vois la famille et je change d'air. Je suis habitué à venir ici.
• Pourquoi étiez-vous absent samedi devant les Eléphants?
Il y a une loi qui dit que je dois attendre encore durant 60 jours, à partir du feu vert de la Fifa, avant de pouvoir jouer avec les Etalons. On peut dire que je ne suis pas encore qualifié pour défendre les couleurs de mon pays. Mais dans quelques semaines, je pourrai jouer. Il n'y a aucun problème.
• Qu'est-ce qui vous a amené à dire oui aux Etalons cette année après plusieurs refus?
Ce n'était pas un refus. Il y avait plusieurs choses qui faisaient que je ne pouvais pas jouer pour le Burkina Faso.
• Lesquelles?
J'avais besoin de me stabiliser en club d'abord. Je pars du principe que pour jouer en sélection, il faut être bien en club pour pouvoir apporter quelque chose sinon ce n'est pas la peine. J'ai donc attendu d'être bien. Depuis deux ans je suis à l'OGC Nice. Il y a une stabilité qui me permet de retrouver mon meilleur niveau. Là, c'était le bon moment pour arriver.
• Quelles sont vos impressions après la prestation des Etalons face aux Eléphants?
Je pense qu'un nul entre ces deux équipes n'aurait pas été volé. Les Etalons ont fait un bon match, ont produit du jeu. Ce n'est pas facile de jouer contre la Côte d'Ivoire car tous les mecs évoluent dans de grands clubs. Et c'est un peu la référence du football africain. Mais je tire mon chapeau aux Etalons qui ont fait douter les Eléphants.
• Pensez-vous pouvoir apporter un plus aux Etalons?
C'est sur le terrain qu'on verra si c'est le cas ou non. J'ai un état d'esprit qui fait que j'ai vraiment envie de tout donner pour le peuple burkinabé.
• Comment appréhendez-vous votre première sortie sur un stade africain?
C'est vrai que le football ici est différent de celui pratiqué en Europe mais c'est la même langue partout et je m'adapterai.
• Peut-on affirmer que vous serez présent au stade Houphouët-Boigny, le 5 septembre, pour le rendez-vous contre les Eléphants?
Normalement si la santé est là, je serai du déplacement d'Abidjan. En tout cas, j'ai hâte d'honorer ma première sélection avec les Etalons.
Entretien réalisé à Ouaga par Guy-Florentin Yaméogo, Envoyé spécial
• Etes-vous à votre premier séjour en terre burkinabé?
(Rires) Non. Je viens à Ouaga chaque mois de juin. Lorsque je suis en vacances, sportivement parlant, je viens passer quelques jours ici. En deux semaines, je vois la famille et je change d'air. Je suis habitué à venir ici.
• Pourquoi étiez-vous absent samedi devant les Eléphants?
Il y a une loi qui dit que je dois attendre encore durant 60 jours, à partir du feu vert de la Fifa, avant de pouvoir jouer avec les Etalons. On peut dire que je ne suis pas encore qualifié pour défendre les couleurs de mon pays. Mais dans quelques semaines, je pourrai jouer. Il n'y a aucun problème.
• Qu'est-ce qui vous a amené à dire oui aux Etalons cette année après plusieurs refus?
Ce n'était pas un refus. Il y avait plusieurs choses qui faisaient que je ne pouvais pas jouer pour le Burkina Faso.
• Lesquelles?
J'avais besoin de me stabiliser en club d'abord. Je pars du principe que pour jouer en sélection, il faut être bien en club pour pouvoir apporter quelque chose sinon ce n'est pas la peine. J'ai donc attendu d'être bien. Depuis deux ans je suis à l'OGC Nice. Il y a une stabilité qui me permet de retrouver mon meilleur niveau. Là, c'était le bon moment pour arriver.
• Quelles sont vos impressions après la prestation des Etalons face aux Eléphants?
Je pense qu'un nul entre ces deux équipes n'aurait pas été volé. Les Etalons ont fait un bon match, ont produit du jeu. Ce n'est pas facile de jouer contre la Côte d'Ivoire car tous les mecs évoluent dans de grands clubs. Et c'est un peu la référence du football africain. Mais je tire mon chapeau aux Etalons qui ont fait douter les Eléphants.
• Pensez-vous pouvoir apporter un plus aux Etalons?
C'est sur le terrain qu'on verra si c'est le cas ou non. J'ai un état d'esprit qui fait que j'ai vraiment envie de tout donner pour le peuple burkinabé.
• Comment appréhendez-vous votre première sortie sur un stade africain?
C'est vrai que le football ici est différent de celui pratiqué en Europe mais c'est la même langue partout et je m'adapterai.
• Peut-on affirmer que vous serez présent au stade Houphouët-Boigny, le 5 septembre, pour le rendez-vous contre les Eléphants?
Normalement si la santé est là, je serai du déplacement d'Abidjan. En tout cas, j'ai hâte d'honorer ma première sélection avec les Etalons.
Entretien réalisé à Ouaga par Guy-Florentin Yaméogo, Envoyé spécial